Une campagne zombie cet été ?

Salutations Légionnaires !

afin de redynamiser cette période historiquement pauvre en activité ludique qu'est l'été,
j’aimerais vous proposer une campagne estivale au club

Les PJ vont connaitre une épidémie transformant de gentils voisins/concitoyens en monstres assoiffé de sang
L'idée est d'avoir plein de pré-tiré ce qui permet à tout joueurs désireux de s'intégrer à n'importe quel moment de la campagne.

Cette campagne sera motorisé sous chronique oubliées contemporain, option zombie, bien entendu

Alors si vous voulez jouer Rick Grimes, Machete, ou bien encore shaun... bah faites vous connaitre en répondant sur le fil !
En pré-tiré, il y aura bien entendu le shériff, son adjoint, le garagiste, le routier, le doc, la cheerleader, le nerd...

via GIPHY

Si vous avez des envies particulières, n'hésitez pas
Au pire je peux faire de la créa sur Discord...

Démarrage prévue d'ici la fin juin je pense.

Tchuss, Gueute.

+1

Le gangsta a la petite semaine, c'est possible?

ou un sorcier vaudoo de la Nouvelle-Orléans?

Salutations légionnaires !
L'action se déroulera dans le Delaware, sûrement dans les années 2000... Pas de magie/occultisme à proprement parler. Du coup, le bad boy du lycée oui, le sorcier vaudoo moins dans le thème.
Tchuss, gueute.

Édit : ce sera en juin 2002

Un lycéen c'est non pour moi. Ce sera plutôt le garagiste du coup.

Salutations Légionnaires !
on ajoute Lyam et Karadog aux gens motivés
Tchuss, Gueute.

Salutations légionnaires,
alors nous avons pour le moment 8 PJ disponible dans la petit ville de Stamford :

- John Burns, shérif de la ville
- Dc. Dorothy Keller, chef clinique
- Révérant Morton
- Tim Cross, le gérant de la casse/garagiste/dépanneur
- Le vieux Sam, chasseur/guide montagne
- Jame Ratkin, gérant du vidéo club (et complotiste)
- Britanny Friboosh, cheerleader
- Zack Jacobs, quaterback star du lycée (et fils du maire)
- Bill "Junior" Fergus, bad boy du lycée (et fils de l'adjoint du shériff)

- ajout de John Do, profil de peckno

D'autres archétypes vous botterez ?

Tchuss, Gueute.

PS : à priori, le révérant, le garagiste, le gérant du vidéo club, le footeux, et la Doc sont réservés

les BG sont déjà finis ou on peut personnaliser un peu?

Salutations Légionnaires!
Alors les PJ démarre niveau 2, les caract/voies/trait sont définis,
après niveau BG y'a moyen de personnaliser oui.

A la fin du premier "acte", les PJ prenne un niveau,
et là vous choisissez une nouvelle voie en mode "chasseur de zombi".

Le John Do est la pour palier à un mort in game...

Tchuss, Gueute.

Tim Cross, 40ans, divorcé.
Vis dans une caravane a l’arrière de son atelier mécanique sur le terrain de sa casse automobile.
Possède un fusil a canon scié (car mauvais tireur) et trois chiens (Daube et Herman ses rottweilers et Bijou le Chihuahua de son ex-femme) pour la protection de sa propriété.
Il aime son pays qui heureusement passe son temps a sauver le monde, méprise les français qui sont des faibles qui ont tout le temps besoin que l'on vienne se battre a leur place, pense que les anglais sont tous gay puisque ils obéissent a une Queen, hait les russes qui sont tous des communistes et les moyen-orientaux qui sont tous des terroristes.
Ferronnier amateur, il s'est spécialisé, comme tout américain moyen, dans l’appropriation culturelle. Il a donc forgé des katana, tomawaks, haches vikings et machettes Khukuri pour les vendre aux touristes.

Salutations légionnaires !
Je suis ok sur les deux premiers paragraphes, même si je lui ai mis un canon scié car utilisable au CAC
Pour le dernier paragraphe, soit les "armes" fabriquées sont des objets de déco vendus aux touristes en local, sinon ton PJ peut faire de la sculpture à partir de déchets métalliques... Mais non, il n'a pas une armure médiéval le gars !
Tchuss, gueute.

Salutations légionnaires !
Petite précision, même si y'a une dizaine de PJ dispo, j'accepte max 6 joueurs à table.
Tchuss gueute.

Un peu de tourisme
Stamford Town, surnommé la Reine des Catskills est une petite ville typique du nord des Etats-Unis.
Elle compte un peu plus de 2000 habitants et fait partie du comté de Delaware, NY.
C'est un endroit très tranquille, à l'écart des grandes autoroutes, un lieu de villégiature (surtout en été) offrant des paysages
pittoresques où se mélangent bois, lacs, champs cultivés et larges prairies.
Les rues sont bordées de vieilles demeures victoriennes typiques de la région.

Stamford compte plusieurs musées témoignant du passé de la ville: épisode sanglant pendant la guerre d'indépendance (souvenir toujours
commémoré lors de la fête nationale), quelques héros lors de la guerre de sécession (une statue sur Maint Street témoigne de cette glorieuse période),
une petite ruée vers l'or dans les années 1890 (dont il ne reste que quelques mines désaffectées et des photos jaunies),
quelques faits divers sous la Prohibition (la région abritait plusieurs distilleries clandestines).

L'activité économique de Stamford tourne autour d'exploitations forestières, de quelques fermes et d'un petit zoning industriel en bordure de
la ville. Mais l'activité principale de la Reine des Catskills, c'est le tourisme.
La ville compte plusieurs hôtels, un camping et un complexe de chalets à louer. Les bois de la région offre des kilomètres de sentier pour les randonnées.
Les touristes viennent à Stamford en été mais aussi en hiver, pour les fêtes de fin d'année, quand la neige ajoute sa note féérique au
paysage des Catskills

Quelques lieux a visiter et quelques notables de la ville
Voici quelques lieux de Stamford qu'il convient de connaître sinon de visiter.
Ce petit circuit touristique est également l'occasion de présenter quelques-unes des personnalités de la ville :

- la mairie de la ville sur Main Street et le maire Michael Jacobs
- le bureau du shérif John Burns (et son adjoint Bill Fergus)
- le collège, le campus de Stamford et son terrain de base ball
- l'église presbitérienne de Stamford et le révérend Morton
- les magasins de la ville: le drugstore de Stevenson et le general store du vieux Sam
- les hôtels de la ville: le Stamford Hotel (gérant: Arnold StClair) et le Green Forest Inn tenu par la famille Nicholson
- le musée municipal, la bibliothèque et le conservateur Ronald Hitt
- les autres petits musées de la ville
- le dépôt militaire de Black Woods, au nord de la ville, et le détachement du sergent Willis
- la zone industrielle: un fabrique de papier et de carton, un usine de traitement du bois, deux ou trois fabriques familiales,
une usine de soda (production locale)
- des scieries dans la forêt au nord de Stamford, propriété des Wright et des Jacobs.
- le dispensaire de Stamford et le docteur Dorothy Keller
- les stations service de la ville et le bureau de location de voitures
- les fermes de la région (les Johnson, les Perry, les Howard, etc.)
- le complexe touristique des chalets
- le bureau de poste
- le cinéma de Penny Smith
- Radio Catskills
- la casse/garage de Tim Cross
- l'armurerie de Derek Bell
- le terrain de camping
- les kilomètres de sentier pour randonnée
- le terrain de golf
- le cimetière

Tous ces endroits sont indiqués sur la carte de Stamford ci-dessous :

La mairie de Stamford
La mairie de Stamford se trouve sur Main Street, au centre de la ville.
C'est une imposante bâtisse en brique rouge, rectangulaire avec une espèce de tour carrée en
façade, et une horloge.
Ce bâtiment abrite le conseil municipal de Stamford, le bureau du maire Michael Jacobs et
de ses adjoints, ainsi que les bureaux des différents services municipaux et les archives.
Le maire de la ville, Michael Jacobs, est un homme calme et pondéré, entre deux âges (la
quarantaine), et du parti démocrate.Il occupe le poste de maire depuis 10 ans.
En plus de son travail de maire, Michael Jacobs est patron d'une des scieries située dans la
forêt au nord de la ville.

Le bureau du sherif
Le bureau du shérif Burns jouxte la mairie de Stamford. C'est une bâtisse sans étage, au toit
en plateforme avec un parking à l'avant pouvant accueillir une petite dizaine de véhicule.
Ce parking sert aussi pour la mairie.L'avant du bâtiment est occupé par le bureau du
shérif John Burns et de son adjoint Bill Fergus.
L'arrière du bâtiment comporte un couloir et trois cellules de détention.
Une porte (toujours verouillée) donne sur une petite arrière-cour.
Sur le toit du bureau du shérif se dresse une antenne radio assurant la communication entre
le poste de police et les deux véhicules de patrouille.
Lors que le shérif et son adjoint sont en patrouille, c'est la secrétaire, Amy Fergus
(épouse de Bill) qui assure la permanence.

Le college de stamford
Le collège de Stamford, fondé il y a presque un siècle, est la principale école du comté.
Elle accueille donc les enfants de Stamford mais aussi de plusieurs villes de la région.
Il y a un pensionnat abritant une cinquantaine d'étudiant.
L'école comporte plusieurs bâtiments (les locaux de cours + le pensionnat) ainsi qu'un
terrain de sport.Stamford possède une équipe de base ball pas mal classée au championnat du comté.

L'eglise de Stamford et le reverend morton
Stamford est une petite communauté regroupée autour d'un église et de son charismatique
révérend, le père Morton.L'église se trouve à proximité du centre ville.
C'est un bâtiment de style victorien, très typique. Tous les dimanches, elle accueille les
fidèles pour l'office de 10h30.Le révérend Morton est un homme très croyant et un prédicateur impressionnant.
Le révérend se laisse souvent emporter dans des sermonts passionnés où il stigmatise les
défauts de ses ouailles avec parfois un peu trop de sévérité. Il a la facheuse tendance à
voir le mal partout et a des positions assez tranchées sur la plupart de sujets délicats qui
divisent l'Amérique.Ce n'est pas un homme mauvais mais c'est un passionné de la foi.
Il est déjà passé plusieurs fois à la télévision, sur la chaîne cablée du Comté et
même sur une chaîne nationale. Ses détracteurs le traitent de «fou de Dieu»

Les magasins
Stamford compte deux ou trois magasins de fourniture style drugstore ou general store.
Dans le drugstore de Stevenson et le general store du vieux Sam, il est possible d'acheter
presque n'importe quoi, sauf des armes et des articles illégaux.
Les prix pratiqués à Stamford sont un peu plus hauts que dans les grandes chaînes de magasins
de la côte est mais les articles sont de bonne qualité.
Stevenson et sa famille tiennent un drugstore à Stanford depuis trois ou quatre générations.
Ils se méfient un peu des étrangers mais vu que les affaires ne marchent qu'en période touristique, il faut bien faire avec.
Le vieux Sam est plus accommodant. Il a vite compris qu'il pouvait facilement vendre sa marchandise aux touristes, ceux-ci n'ayant le
plus souvent aucune notion de ce qu'il leur faut pour partir camper dans les collines ou faire de la randonnée.
Il en profite pour augmenter légèrement ses prix, histoire de faire un peu de profit.

Les hotels de la ville
Il y a deux hôtels en ville: le Stamford Hotel tenu par Arnold StClair et le Green Forest Inn tenu par la famille Nicholson.
Le Stamford Hotel est un établissement trois étoiles repris dans les guides touristiques.
Le prix pour une nuit + petit déjeuner est abordable (environ $15).
L'hôtel est propre et bien tenu; la cuisine y est acceptable sans être exceptionnelle.
Le gérant, Arnold StClair est un homme hautain, un peu froid mais serviable (quand le client
paie).L'hôtel possède une petite trentaine de chambres. Hors saison touristique, il est
pratiquement vide mais en été, tout est généralement complet.
Le Green Forest Inn est plus une auberge qu'un hôtel à proprement parler.
L'endroit est tenu par la famille Nicholson. L'accueil pourrait être décrit comme familial
et bon enfant. La cuisine est bonne et du terroir (madame Nicholson est aux fourneaux).
Le nombre de chambre est plus réduit qu'à l'hôtel (une dizaine) mais moins cher ($10 par nuit + un repas).
Monsieur Nicholson offre ses services comme guide pour visiter la région.
Il est une véritable mine d'or de renseignements sur les lieux à visiter et les notables de la ville.

Le musee et la bibliotheque
Le musée municipal de Stamford est un lieu à visiter. Il abrite de nombreux témoignages de
la vie et de l'histoire de la ville, depuis sa fondation par des pionniers allemands jusqu'à
nos jours. Il y a notamment une collection impressionnante de sabres de cavalerie datant
de la guerre de sécession.
En face du musée, la bibliothèque municipale propose un large choix d'ouvrages (à la location).
L'endroit est fréquenté par les étudiants du collège Stamford et par le club de lecture des veuves du comté.
Le conservateur du musée qui fait également office de bibliothécaire se nomme Ronald Hitt.
C'est un homme âgé (75 ans) qui a toujours vécu à Stamford; fonctionnaire à la retraite, il a
la passion des livres et des choses anciennes. Il connaît l'histoire de Stamford comme personne.
La ville compte d'autres musées de moindre importance comme le musée de la culture
indienne (Stamford se trouve sur le territoire d'une ancienne tribu aujourd'hui disparue) ou
le musée des pionniers, spécialisé dans l'histoire des premiers trappeurs et des fondateurs de la ville;
mais de la bouche même de Ronald Hitt, ces petits musées sont des pièges à touristes, des magasins à gogo qui
vous vendent des souvenirs de pacotille...

Le depot militaire
Au nord de la ville, il y a une base militaire; installée lors de la guerre froide, elle abritait un silo de missiles.
Depuis la fin des années 80, le silo a été démantelé et la base est devenue un simple dépôt de matériel et d'armes.
Le dépôt est sous la responsabilité du Sergent Willis et de son détachement (environ une dizaine aine d'hommes).
Hormis un ou deux camions, il n'y a guère d'activités autour de la base militaire.
Le dépôt abrite du matériel militaire, du carburant et un arsenal (fusils d'assaut, armes
de poing et munitions). L'endroit se compose de cinq hangars, d'un corps de garde, d'un baraquement, le tout
entouré par une haute clôture et défendu par une grille portant la mention: «RESTRICTED AREA
– US MILITARY DOMAIN».

La Zone industrielle
Stamford possède une zone industrielle où sont installées plusieurs petits entreprises: une
fabrique de papier et de carton (fournie en bois par les scieries locales), un usine de
traitement du bois (qui fournit du bois traité au marché de la côte est), quelques fabriques
familiales et une usine de soda (production locale).

Les scieries
Au nord de la ville, en bordure de la forêt, il y a plusieurs scieries, propriétés des Wright
et des Jacobs. Ces scieries exploitent le bois local et forment avec le zoning industriel le principal
fournisseur d'emploi de la région, en plus du tourisme à la bonne saison.

La clinique
La clinique de Stamford est dirigé par le docteur Dorothy Keller, une jeune praticienne venue
s'installer dans la région il y a cinq ans.
C'est une jeune femme intelligente et séduisante, encore célibataire.
Au début, les gens du coin étaient assez méfiants mais ses talents de médecin l'ont très
vite fait accepter par la population. La clinique joue également le rôle de pharmacie.
On peut s'y procurer des médicaments et d'autres fournitures médicales.

Les Stations service
Il y a deux stations service en ville, celle de Jack Nichols (un gros aux bras couverts de
tatouages) à l'est et celle de Matias Hutchinson (un petit vieux mais bon mécanico) à
l'ouest, sur Main Street.
On peut également y louer un véhicule pour une journée ou pour la semaine, voiture ou 4x4,
pour un prix raisonnable.

Les fermes de la region
Il y a quelques fermes disséminées ça et là dans la région. Ce sont pour la plupart des
exploitations familiales: la ferme de Johnson, celle des Howards et l'élevage de chevaux de la
famille Perry pour ne citer que les plus connues.

Les chalets
En plus des deux hôtels du centre ville, Stamford possède un complexe touristique
composé de plusieurs chalets au bord du lac Rexmere, un peu au nord-ouest de la ville.
Les chalets dépendent du Stamford Hotel.
Pour en louer un, il faut s'adresser au gérant de l'hôtel, Arnold StClair.

Le bureau de poste
Stamford dispose d'un bureau de poste (envoi et distribution du courrier).

Le cinema
Stamford possède un petit cinéma tenu par Penny Smith, une jeune femme un peu étrange (goth)
qui a fait des études d'arts dramatiques à Boston puis est venue s'enterrer à Stamford pour d'obscures raisons.
Elle est passionnée de films d'horreur.

Radio Catskills
Sur les hauteurs de Stamford se dresse une antenne radio. Au pied de cette antenne, une
vieille caravane avec un large écriteau indiquant «Radio Catskills».
Ed Ratkin est l'animateur de cette petite radio locale. Il s'occupe également du vidéo-club de
Stamford avec son frère James.

Vidéo Club
James Ratkin tient le video club de la ville qui est accolé au Drugstore de Stevenson.
Une énorme collection de VHS est à disposition des clients, mais aussi quelques dvd...

La Casse de vieilles voitures
Un peu à l'écart de la ville, on trouve la casse de vieilles voitures de Tim Cross;
l'homme est assez sauvage et n'aime guère les contacts humains. Il vit reclus dans une
caravane en bordure de la décharge, avec ses chiens.
L'endroit est une mine d'or pour les amateurs de pièces détachées.

L'armurerie
Derek Bell tient une armurerie sur Liberty St.
On peut y acheter toutes sortes d'armes:
pistolets colt, fusils de chasse, matériel
divers, munitions.

Le terrain de camping
Il y a un petit terrain de camping au sud est de la ville, en suivant Mountain Avenue:
quelques caravanes, des locaux sanitaires et un petit plan d'eau. Une alternative pour loger
dans la région.

Les sentiers de randonnee
Les bois de la région propose des kilomètres de sentier pour les randonnées.
Ca et là, des cabanes peuvent éventuellement accueillir les randonneurs pour la nuit.
Elles sont assez isolées et ne possèdent ni électricité ni eau courante mais c'est mieux
que de passer la nuit à la belle étoile.

Le terrain de golf
Récemment, un promotteur a acheté plusieurs terrains au nord de la ville pour y créer un
grand terrain de golf.

Le cimetiere de stamford
Le cimetière de Stamford se trouve de part et d'autre de Mountain Avenue, au sud de la ville.

Avec l'aide du colonnel O'Brian et de ses hommes, les survivants réussissent à «sécuriser»
temporairement le centre-ville, du moins quelques rues autour de l'hôtel de ville.

Sur la fréquence de la radio locale, Ed Ratkin commente ce qu'il voit de la colline où se dresse l'antenne radio.
De là où il est, il a une vue d'ensemble sur Stamford et ses environs.
«A ceux qui m'écoutent encore, à ceux qui ne sont pas encore devenus ces bêtes humaines que j'ai abattu ce matin devant mon mobil-home,
ceci est sans doute la dernière émission de Radio Catskills. Comme je viens de le dire,
j'ai abattu ce matin quatre mecs... je les connaissais tous les quatre. C'était de fermiers du coin. J'ai déjà bu des bières avec
ces types. J'ai déjà joué au poker avec eux... et ce matin, je leur ai explosé la cervelle au fusil de chasse... ils voulaient me bouffer...
j'avais pas le choix...»
«J'aperçois de la fumée au-dessus de Stamford. Et j'ai entendu des coups de feu. On se bat aussi là-bas. Il y a peut-être encore des
survivants «humains». Je vais tenter de les rejoindre...»
«... Ici se termine notre dernière émission. Merci à tous les auditeurs pour leur fidélité.
A bientôt peut-être. Que Dieu vous garde...» Là-dessus, l'hymne nationale...
puis un grésillement continu... Radio Catskills a cessé d'émettre.

Une demi-heure plus tard, un pickup jaune (avec des tâches de sang sur le capot et le pare-choc)  se présente au barrage ouest de Stamford.
Au volant, Ed Ratkin, l’œil hagard de n'avoir pas dormir depuis 48 heures mais vivant.

Il y a d'autres survivants mais il est assez difficile d'estimer leur nombre. Les appels répétés du Révérend Morton ont poussé
quelques dizaines de personnes à s'aventurer hors de leurs abris, se présentant aux barrages établis autour du périmètre.

Au soir de ce que certains appellent déjà «La Fin du Monde», on dénombre
environ une cinquantaine de survivants (hommes, femmes et enfants), en plus des soldats du
colonnel O'Brian, 50 survivants sur une population locale de près de 2000 habitants.
Mais dans la panique générale, ils n'ont emporté que des armes, des munitions et trop peu de vivres.

Il y a certainement d'autres survivants, cachés, assiégés, attendant qu'on vienne leur porter secours.
Il faudra s'organiser pour aller les chercher et les ramener dans le périmètre sécurisé.
Il faudra aussi sécuriser le périmètre en question, et assurer l'approvisionnement en eau et en vivres; et aussi en armes et munitions.

Pour l'heure, les zombies semblent s'être disperser mais ce n'est que partie remise... Il est clair qu'ils reviendront, plus nombreux, plus affamés que jamais.

Et il faudra être prêt à les recevoir.

Les survivants n'ont pas le choix...

Un soleil timide baigne la ville de Stamford à l’aube du troisième jour, troisième jour depuis l’apocalypse zombies.
Les survivants ont sécurisés quelques rues autour de l’hôtel de ville et du bureau du sheriff, mais sous l’impulsion d’un petit groupe, le Général Store fut nettoyé pour offrir à toutes et à tous un refuge sûr.

Alors que le révérent Morton apporte un café encore fumant aux sentinelles du dernier quart, la quiétude matinale est rompue par Derek qui sort de la réserve en gueulant :
« C’est plus possible Doc, on ne peut pas garder à coté de nous des mordeur en puissances ,
mais bordel rendez-vous compte ! Il y a des enfants ici ! »
D’un pas décidé, Dorothy Keller sort à son tour : « Mais ils sont malades, vous comprenez ma-la-des ! »

Les quelques enfants, réveillés brutalement, commencent à pleurer, envenimant une situation déjà très tendue. Le maire, alerté par le boucan, prend les deux protagonistes par les bras afin de les reconduire dans la réserve.


A vous de jouer, que voulez-vous faire des « malades » ? Donnez votre avis sur le sondage

Tchuss, Gueute.

Cela fait maintenant quatre semaines que
l'apocalypse s'est produite.
Le monde a basculé dans l'horreur il y a à
peine un mois.
Des zombies ont envahi les rues, dévorant les
vivants.
Aujourd'hui, le monde n'est plus qu'un enfer où
les morts marchent, en quête de chair fraîche.
Les rares survivants tentent de s'organiser,
comme les rescapés de Stamford, une petite
centaine d'hommes et de femmes déterminés à ne
pas sombrer dans la folie et la mort.
Grâce à la remise en marche de l'antenne de
Radio Catskills, d'autres survivants ont réussi
à rejoindre le refuge.
La principale préoccupation des survivants,
hormis la défense contre les zombies, reste la
collecte de ressources: vivres, eau,
médicaments, carburant, armes et munitions.