la saga des brochet saison deux
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la saga des brochet saison deux
14 ans ont passé depuis la dernière saison.
Ils sont en 54 après l'arrivée. Le Roi Jaehaerys I est sur le trône depuis 4 ans et a remplacé Maegor le cruel.
Jaehaerys a désarmé la foi militante et ramené la paix sur ces terres.
De nombreux vassaux des Tyrell essaient de se rebeller pour devenir les nouveaux seigneurs du Bief. Ils profitent que le roi soit occupé à ramener le calme sur ses terres et de toutes façons se sont des problèmes internes à la maison Tyrell.
Ils sont en 54 après l'arrivée. Le Roi Jaehaerys I est sur le trône depuis 4 ans et a remplacé Maegor le cruel.
Jaehaerys a désarmé la foi militante et ramené la paix sur ces terres.
De nombreux vassaux des Tyrell essaient de se rebeller pour devenir les nouveaux seigneurs du Bief. Ils profitent que le roi soit occupé à ramener le calme sur ses terres et de toutes façons se sont des problèmes internes à la maison Tyrell.
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"Un bataille équitable c'est quoi? C'est à dix contre un avec une intense préparation d'artillerie. Si tu veux de la finesse demande à ces tapettes de Space Marines." dixit un lieutenant de la garde Impériale.
"Ah! l'odeur de l'ork brûlé au petit matin, putain que c'est bon!" Le même lieutenant après la bataille.
edgar pied leger- Messages : 2705
Date d'inscription : 06/03/2012
Age : 52
Localisation : t'aimerai bien le savoir hein!
Re: la saga des brochet saison deux
Une semaine s'était passé à l'auberge. Tyrion et ses amis avaient complètement récupéré des semaines de privation et de fatigue accumulée.
ser Balon Swann avait couvert l'intégralité de leurs dépenses et leurs avait même acheter des vêtements plus en accord avec leurs situations.
Entre ser Balon et Bella, un jeu de séduction avait assez vite commencé et il semblait que l'attirance était partagée. La petite Nyssa , quant à elle, ne faisait que pleurer et réclamer sa mère ou dame Jonelle. Elle ne se calmait vraiment que lorsque Tyrion ou Bella lui parlait.
Alors qu'ils étaient attablés pour la énième fois autour de Ser Balon avec à ses côtés Bella comme toujours, Tyrion prit la parole d'un ton ferme, sans élever la voix. Instinctivement chacun prêta l'oreille à ce qu'allait dire le jeune nain.
"Il va falloir décider de ce que l'on fait?" dit-il
"Doit-on rentrer à la maison? aller à Port-Réal? ou ailleurs? Une chose est certaine, nous n'allons pas rester indéfiniment ici à vivre au crochet de Ser Balon. je vous remercie encore Ser de votre générosité à notre encontre."
Balon lui fit un geste de la main comme pour signifier que cela n'était rien.
Chacun de ses amis restèrent silencieux, fixant le jeune Brochet. Balon ne manqua pas de remarquer l'emprise du jeune nain sur ses amis. Il l'avait jugé sur son physique, il avait fait une erreur.
"Non mes amis, nous sommes dans la même galère, vous pouvez, devez choisir ce que vous voulez faire." expliqua Tyrion.
Balon intervint de sa voix puissante. Il fixait Bella dans les yeux en souriant.
"Facile! Venez vivre chez moi le temps que nous en sachions plus sur le devenir de votre maison."
"Et après si notre maison est rasé, on devient vos serviteurs! Très peu pour moi." répondit Gwenn d'un ton presque insultant.
Le nain fut immédiatement fusillé du regard par Bella et Balon. Tyrion reprit la parole pour désamorcer la situation bien que ce qu'avait dit son cousin reflétait un peu sa pensée.
"Veuillez excuser le ton de mon cousin, la diplomatie et la courtoisie ne sont pas le fort de son père. Ce que Gwenn veut dire, c'est que nous avons trop abusé de votre prodigalité pour profiter de surcroît de votre hospitalité."
Tyrion regarda sa sœur, attendant une réponse.
"Je suis pour accepter la proposition de Ser Balon, du moins pour Nyssa et moi maintenant je te suivrai mon frère."
Puis son regard se posa sur son cousin.
"Port-Réal pour moi maintenant je suis ouvert aux autres propositions."
Ensuite Tyrion regarda Ned et Meryn.
"Oh! nous regarde pas comme ça, on te suit un point c'est tout." s'exclama Ned.
"Ned a résumé ce que je pense." indiqua Meryn.
Tyrion regarda Jonothor.
"Tu as peut-être envie de retourner chez toi Jonothor?"
"Retourner dans mon trou paumé, à me tremper les os, grelotter de froid et redevenir un numéro dans la longue liste de mes frères. Très peu pour moi, je veux découvrir le monde, devenir une légende même. autant commencer en vous accompagnant un peu."
Tyrion sourit et regarda Adrian.
"Mon père veut me tuer, rentrer chez moi c'est mourir. Quittes à crever autant voyager."
Tyrion les regarda encore un instant.
"Et toi que veux tu?" demanda Bella.
"J'hésites pas mal en vérité. je voudrai aller à Port-Réal, en appeler au roi, mais soyons sérieux un instant: Quelle chance ai-je de le rencontrer? Aucune! Je voudrais bien retourner vers Roc-fleuri, rechercher Mère pourquoi pas. Après tout elle est au prise avec des hommes d'Adler. Mais je veux aussi vous mettre en sécurité toi et Nyssa."
"En somme c'est moi qui décide?"
Tous, excepté Gwenn acquiescèrent.
ser Balon Swann avait couvert l'intégralité de leurs dépenses et leurs avait même acheter des vêtements plus en accord avec leurs situations.
Entre ser Balon et Bella, un jeu de séduction avait assez vite commencé et il semblait que l'attirance était partagée. La petite Nyssa , quant à elle, ne faisait que pleurer et réclamer sa mère ou dame Jonelle. Elle ne se calmait vraiment que lorsque Tyrion ou Bella lui parlait.
Alors qu'ils étaient attablés pour la énième fois autour de Ser Balon avec à ses côtés Bella comme toujours, Tyrion prit la parole d'un ton ferme, sans élever la voix. Instinctivement chacun prêta l'oreille à ce qu'allait dire le jeune nain.
"Il va falloir décider de ce que l'on fait?" dit-il
"Doit-on rentrer à la maison? aller à Port-Réal? ou ailleurs? Une chose est certaine, nous n'allons pas rester indéfiniment ici à vivre au crochet de Ser Balon. je vous remercie encore Ser de votre générosité à notre encontre."
Balon lui fit un geste de la main comme pour signifier que cela n'était rien.
Chacun de ses amis restèrent silencieux, fixant le jeune Brochet. Balon ne manqua pas de remarquer l'emprise du jeune nain sur ses amis. Il l'avait jugé sur son physique, il avait fait une erreur.
"Non mes amis, nous sommes dans la même galère, vous pouvez, devez choisir ce que vous voulez faire." expliqua Tyrion.
Balon intervint de sa voix puissante. Il fixait Bella dans les yeux en souriant.
"Facile! Venez vivre chez moi le temps que nous en sachions plus sur le devenir de votre maison."
"Et après si notre maison est rasé, on devient vos serviteurs! Très peu pour moi." répondit Gwenn d'un ton presque insultant.
Le nain fut immédiatement fusillé du regard par Bella et Balon. Tyrion reprit la parole pour désamorcer la situation bien que ce qu'avait dit son cousin reflétait un peu sa pensée.
"Veuillez excuser le ton de mon cousin, la diplomatie et la courtoisie ne sont pas le fort de son père. Ce que Gwenn veut dire, c'est que nous avons trop abusé de votre prodigalité pour profiter de surcroît de votre hospitalité."
Tyrion regarda sa sœur, attendant une réponse.
"Je suis pour accepter la proposition de Ser Balon, du moins pour Nyssa et moi maintenant je te suivrai mon frère."
Puis son regard se posa sur son cousin.
"Port-Réal pour moi maintenant je suis ouvert aux autres propositions."
Ensuite Tyrion regarda Ned et Meryn.
"Oh! nous regarde pas comme ça, on te suit un point c'est tout." s'exclama Ned.
"Ned a résumé ce que je pense." indiqua Meryn.
Tyrion regarda Jonothor.
"Tu as peut-être envie de retourner chez toi Jonothor?"
"Retourner dans mon trou paumé, à me tremper les os, grelotter de froid et redevenir un numéro dans la longue liste de mes frères. Très peu pour moi, je veux découvrir le monde, devenir une légende même. autant commencer en vous accompagnant un peu."
Tyrion sourit et regarda Adrian.
"Mon père veut me tuer, rentrer chez moi c'est mourir. Quittes à crever autant voyager."
Tyrion les regarda encore un instant.
"Et toi que veux tu?" demanda Bella.
"J'hésites pas mal en vérité. je voudrai aller à Port-Réal, en appeler au roi, mais soyons sérieux un instant: Quelle chance ai-je de le rencontrer? Aucune! Je voudrais bien retourner vers Roc-fleuri, rechercher Mère pourquoi pas. Après tout elle est au prise avec des hommes d'Adler. Mais je veux aussi vous mettre en sécurité toi et Nyssa."
"En somme c'est moi qui décide?"
Tous, excepté Gwenn acquiescèrent.
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edgar pied leger- Messages : 2705
Date d'inscription : 06/03/2012
Age : 52
Localisation : t'aimerai bien le savoir hein!
Re: la saga des brochet saison deux
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"Un bataille équitable c'est quoi? C'est à dix contre un avec une intense préparation d'artillerie. Si tu veux de la finesse demande à ces tapettes de Space Marines." dixit un lieutenant de la garde Impériale.
"Ah! l'odeur de l'ork brûlé au petit matin, putain que c'est bon!" Le même lieutenant après la bataille.
edgar pied leger- Messages : 2705
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Age : 52
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Re: la saga des brochet saison deux
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J’ai vu tant de choses, que vous, humains, ne pourriez pas croire... De grands navires en feu surgissant de l’épaule d’Orion, j’ai vu des rayons fabuleux, des rayons C, briller dans l’ombre de la Porte de Tannhaüser. Tous ces moments se perdront dans l’oubli, comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir.
Blade Runner, Roy Batty.
Galish Tora- Messages : 2098
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Age : 38
Localisation : morlaix
Re: la saga des brochet saison deux
Quand Lord Gyles appris à Ser Rodrick que Dame Jonelle avait été tuée et qu'on n'avait pas de nouvelles de leurs enfants quelque-chose mourut en lui. Bien sûr il avait gardé une faiblesse infantile pour Dame Gentiane, mais c'est à ce moment précis qu'il réalisa à quel point il aimait Dame Jonelle. Malgré sa laideur, elle l'avait aimé sincèrement avec toute sa bonté et sa joie de vivre. Et elle lui avait offert son plus cher trésor, ses deux fils Ned et Meryn. Il se mit à faire une prière muette aux Sept, mais aussi au anciens Dieux, afin que ses fils soient encore vivant. Il comptait bien survivre au siège d'une manière ou d'une autre. Ensuite il retrouverait ses fils. Et il leur apprendrait une dernière leçon du vieux braconnier qu'il était encore au fond de lui. Comment on chasse une bête malfaisante... Oui il tuera tous ceux qui lui ont enlevé Dame Jonelle. De l’exécutant aux donneurs d'ordre. Surtout les donneurs d'ordre. Et quand il en aura fini, en comparaison Lord Gyles ne sera plus surnommé "le Juste mais Cruel" mais plutôt "le Juste et le Magnanime"...
Karadog- Messages : 336
Date d'inscription : 23/10/2015
Age : 51
Localisation : Plougoulm
Re: la saga des brochet saison deux
Ser Rollos saisit l'aubergiste par le col et le souleva de terre sans sembler y consacrer le moindre effort.
"Parle aubergiste, je te le répète une dernière fois: Où sont partis les gamins? tu sais cette petite bande composé de deux pisseuses et de deux nabots? c'est pourtant simple comme question."
"Avant que tu continues à me raconter des conneries saches que des témoins les ont vu entrer ici."
"Oui je les ai vu, ils sont resté une semaine et sont repartis vers le bief avec Ser Balon Swann. Il y a de cela 2 mois."
"Bien tu deviens coopératif. Ils sont combien?"
"8 jeunes, et les garçons sont plutôt doué pour les armes. Ser Balon devait les accompagnés quelques lieues avant de partir chez lui."
"Bien, je te remercie." Rollos lâcha l'aubergiste, pris quelques pièces dans sa bourse et les jeta négligemment sur le comptoir avant de faire un signe à ses hommes.
***
Deux mois ont passé et les jeunes hommes se sont remis complètement de leurs blessures. Ce temps a permis à certaines amitiés de devenir des amourettes plus sérieuses, voir à de l'amour tout court. Ainsi Jonothor, quand il n'était pas occupé à traquer les brigands dans le comté, a vu sa relation avec Calypso s'amplifier jusqu'à devenir un amour sincère entre eux. Ainsi, Demeter avait le plus sérieusement du monde proposé une union entre les deux jeunes amoureux et pensait faire venir un septon pour bénir cette union.
D'un autre côté Elektra et Tyrion ont vite compris que leur relation était sans avenir bien qu'une grande amitié les lia pour la vie. En effet Tyrion est voué à se marier avec une fille d'une maison majeure pour lier des alliances fortes. Enfin Alcyone et Ned ont fricotés quelques temps avant que celui-ci ne s'aperçoit qu'Alcyone était une jeune tête brûlée avide d'aventure et un brin volage.
La petite bande passa la plus grande partie du temps a terminé de pacifier la région. Calypso écrivit un édit donnant le pardon aux soldats ayant trahis et aux criminels qui rejoindraient les forces de la maison. Ils eurent la surprise de voir arriver progressivement bon nombres d'hommes, jusqu'à constituer une unité d'infanterie. Ils ont passés plusieurs semaines à former ces brutes indisciplinés jusqu'à avoir un certain succès. Les forces de la maison se composent désormais de deux garnisons, une unité de cavalerie et une unité de brigands.
La région commençait à redevenir le petit paradis qu'il était auparavant mais il restait encore une dernière bande de brigands dans la forêt qui rendait la région et surtout la route royale encore peu sûr. De ce qu'ils avaient appris, cette bande étaient dirigé par un certain Logan et s'était formé des restes des multiples bandes de criminels.
Théo le baladin était reparti, il y a déjà plusieurs semaines et fait route vers Port-Réal avec une caravane marchande Barathéon fortement armée. Cela permis à Tyrion d'avoir quelques nouvelles fraîches: Les Dorniens continuaient leurs harcèlement le long des terres du sud, refusant comme l'accoutumé les affrontements frontales pour favoriser les pillages rapides et efficaces. D'ailleurs plusieurs rumeurs indiquent la présence d'un groupe de pillards dorniens plus au sud. La caravane, bénéficiant de sauf-conduit a pu passer par Roc-fleuri et a pu constater que Lord Brochet tienne toujours mais aussi car les forces de Lord Wanderman s'acharnait sur Bois-vert et le château Manchester.
Les sœurs de Tyrion semblaient apprécié le calme qui régnaient ici et l'inimitié entre Bella et les sœurs York s'était estompé naturellement. Nyssa était un peu plus apaisé et ses cauchemars s'espaçait de plus en plus. Tyrion réfléchissait à son prochain mouvement et à la possibilité de laisser ces sœurs ici au cas où.
C'était un matin comme les autres, après avoir fait leurs ablutions matinales, ils commençaient à vaquer à leurs occupations matinales: entrainement, patrouille, exercices, chasse.
Bella s'approcha de Tyrion et lui demanda:
"Tyrion? as-tu vu Gwenn? Je ne l'ai pas vu depuis trois jours et il ne part jamais aussi longtemps. La dernière fois qu'il a été vu, il partait vers Grandcerf. je m'inquiète pour lui et pour nous d'ailleurs, son comportement est de plus en plus chaotique."
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"Un bataille équitable c'est quoi? C'est à dix contre un avec une intense préparation d'artillerie. Si tu veux de la finesse demande à ces tapettes de Space Marines." dixit un lieutenant de la garde Impériale.
"Ah! l'odeur de l'ork brûlé au petit matin, putain que c'est bon!" Le même lieutenant après la bataille.
edgar pied leger- Messages : 2705
Date d'inscription : 06/03/2012
Age : 52
Localisation : t'aimerai bien le savoir hein!
Re: la saga des brochet saison deux
« Gwenn, oui Gwenn... tu n'es pas sans savoir ma sœur que son comportement la semaine passée dans le grand hall m'a pour le moins...
désappointé.
La famille York mérite notre respect, pour son rayonnement d'antan et pour son courage d'aujourd'hui, nous avons été accueilli alors que la situation
ne s'y prêtait guère, nous avons combattu côte à côte pour la Justice et contre la félonie... »
Croisant le regard d'Elecktra qui vaquait à ses occupations, Tyrion lui fait un petit signe de tête mais ne pu s’empêcher d'esquisser une moue
qui ne passa pas inaperçu auprès de Bella.
« Tu la portes toujours dans ton cœur mon frère...
Grandcerf tu dis... »
Tyrion connaissait son cousin, mais ce malandrin avait coutume de se fourrer dans des intrigues dont lui seul avait le secret.
Le capitaine Rolph administrait Grandcerf depuis la contre offensive qu'il avait mené lui et ses cavaliers contre les brigands.
Demeter le nommant par la même : Roph, le Sincère.
Bella observa un moment Tyrion tirant le fil de ses pensés, mais n'eut pas la patience d'attendre les conclusions de cette réflexion et entra sous le grand hall. Là, Nyssa jouait avec une poupée de chiffon confectionnée par Calypso, malgré son allure hautaine, cette Calypso était une bonne personne.
Elle était contente pour Jonothor.
Sur la table de chêne noir au fond de la pièce, aux cotés de Calypso, Demeter observait avec attention une carte de la région,
elle reconnu un certain Guibour auprès d'elle et aussi Maître Baldric. Jonothor quant à lui se tenait un peu à l'écart du groupe, absent,
il semblait plongé dans ses pensées. Guibour prie la parole :
« Sauf votre respect, l'augmentation substantielle de la population nous oblige à revoir nos priorités, il va falloir nourrir et loger vos hommes... »
« IL SUFFIT. La priorité est de rétablir un semblant d'autorité sur la route royale, avec la sécurité reviendra la prospérité.
Maître Baldric, je vous trouve bien silencieux.»
Maître Baldric considérait les paroles de Guibour, il avait pas tord le bougre...
« Votre parole est sensée, Madame, en tant que représentant de la guilde des marchands, je ne peux qu’acquiescer vos ambitions.
De nombreux quintaux de bois vont être nécessaire à la construction d'un avant-poste, nous pourrions en profitez pour rendre arable ces terres
pour de la culture vivrière, je conseillerais du seigle. »
Le regard de Demeter se posa sur Bella qui attendait aux cotés de Nyssa et un sourire franc se dessina sur son visage.
« Votre sœur est un amour, elle me rappelle à certain égard Alcyonne au même âge.
Auriez-vous l'obligeance d'accompagner votre sœur aux cuisines, qu'elle prenne un petit quelque chose, c'est que ça pousse à cette âge là.»
Bella acquiesça du menton, elle s'entretiendrait plus tard avec Demeter.
Une fois sorties, Demeter porta son attention sur Jonothor qui se tenait légèrement en retrait.
"Mon très cher Jonothor, je vous serais grée de bien vouloir porter votre attention sur la situation qui nous préoccupe actuellement,
vos lumières pourraient nous être utiles."
A la vue de Nyssa, Tyrion sortie de sa réflexion.
« Alors ? » demanda Bella.
« La famille, c'est la famille. » conclu Tyrion en souriant à Nyssa.
désappointé.
La famille York mérite notre respect, pour son rayonnement d'antan et pour son courage d'aujourd'hui, nous avons été accueilli alors que la situation
ne s'y prêtait guère, nous avons combattu côte à côte pour la Justice et contre la félonie... »
Croisant le regard d'Elecktra qui vaquait à ses occupations, Tyrion lui fait un petit signe de tête mais ne pu s’empêcher d'esquisser une moue
qui ne passa pas inaperçu auprès de Bella.
« Tu la portes toujours dans ton cœur mon frère...
Grandcerf tu dis... »
Tyrion connaissait son cousin, mais ce malandrin avait coutume de se fourrer dans des intrigues dont lui seul avait le secret.
Le capitaine Rolph administrait Grandcerf depuis la contre offensive qu'il avait mené lui et ses cavaliers contre les brigands.
Demeter le nommant par la même : Roph, le Sincère.
Bella observa un moment Tyrion tirant le fil de ses pensés, mais n'eut pas la patience d'attendre les conclusions de cette réflexion et entra sous le grand hall. Là, Nyssa jouait avec une poupée de chiffon confectionnée par Calypso, malgré son allure hautaine, cette Calypso était une bonne personne.
Elle était contente pour Jonothor.
Sur la table de chêne noir au fond de la pièce, aux cotés de Calypso, Demeter observait avec attention une carte de la région,
elle reconnu un certain Guibour auprès d'elle et aussi Maître Baldric. Jonothor quant à lui se tenait un peu à l'écart du groupe, absent,
il semblait plongé dans ses pensées. Guibour prie la parole :
« Sauf votre respect, l'augmentation substantielle de la population nous oblige à revoir nos priorités, il va falloir nourrir et loger vos hommes... »
« IL SUFFIT. La priorité est de rétablir un semblant d'autorité sur la route royale, avec la sécurité reviendra la prospérité.
Maître Baldric, je vous trouve bien silencieux.»
Maître Baldric considérait les paroles de Guibour, il avait pas tord le bougre...
« Votre parole est sensée, Madame, en tant que représentant de la guilde des marchands, je ne peux qu’acquiescer vos ambitions.
De nombreux quintaux de bois vont être nécessaire à la construction d'un avant-poste, nous pourrions en profitez pour rendre arable ces terres
pour de la culture vivrière, je conseillerais du seigle. »
Le regard de Demeter se posa sur Bella qui attendait aux cotés de Nyssa et un sourire franc se dessina sur son visage.
« Votre sœur est un amour, elle me rappelle à certain égard Alcyonne au même âge.
Auriez-vous l'obligeance d'accompagner votre sœur aux cuisines, qu'elle prenne un petit quelque chose, c'est que ça pousse à cette âge là.»
Bella acquiesça du menton, elle s'entretiendrait plus tard avec Demeter.
Une fois sorties, Demeter porta son attention sur Jonothor qui se tenait légèrement en retrait.
"Mon très cher Jonothor, je vous serais grée de bien vouloir porter votre attention sur la situation qui nous préoccupe actuellement,
vos lumières pourraient nous être utiles."
A la vue de Nyssa, Tyrion sortie de sa réflexion.
« Alors ? » demanda Bella.
« La famille, c'est la famille. » conclu Tyrion en souriant à Nyssa.
Dernière édition par gueute le Sam 21 Mar - 12:25, édité 1 fois
gueute- Caesar
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Re: la saga des brochet saison deux
Ser Rollos s'arrêta avec sa petite troupe dans le village à la sortie de la forêt. Il avisa du regard la tour qui dominait le petit village et le chevalier qui en sortait et venait lentement à leur rencontre. Ser Rollos descendit de cheval et s'approcha lentement sans armes.
Le chevalier arriva enfin et se présenta:
"Bonjour messer, je suis Rolph, bienvenue à Grand-Cerf sur les terres de la maison York de Gibraltar. Que puis-je pour vous?"
"Bonjour Messer Rolph, je suis Ser Rollos de Petibon, envoyé spéciale de Lord Wade de Petibon. Je suis à la recherche des enfants de la maison Brochet de Roc-Fleuri. Deux filles et deux garçons nains sans défense. je suis en charge de les ramener sans danger chez eux. Ils sont passés sur la route semble-t-il, il y a de cela quelques semaines."
"Messer, je vois très bien de qui vous voulez parler, ils étaient accompagnés de quatre autres jeunes hommes. Ils sont passés par ici, il y a de cela 1 mois et demi environ je dirais. Ils sont restés ici une dizaine de jour et nous ont aidés à lutter contre les brigands qui sévissaient dans la région. Ils sont repartis sur la route il y a environ 1 mois après avoir soignés leurs blessures. Mais ne vous inquiétez pas pour eux, ils savent se battre et ils sont repartis avec une caravane Barathéon de passage."
"Merci Messer Rolph, je peux rester ici avec mes hommes pour la soirée. Nous repartirons d'ici demain matin."
"Vous êtes les bienvenues mais nous n'avons pas d'auberge ici."
"Le seigneur de la maison est ici?"
"Non, Dame Calypso est chez elle à Gibraltar avec ses sœurs et sa mère."
"Ce n'est pas commun, vous n'avez pas de seigneur mâle pour tenir la région."
"Lord York est mort il y a de cela 6 mois et Dame Calypso et ses sœurs sont parfaitement capable de me botter le cul et tous mes hommes ici réunis. Ne vous inquiétez pas pour elle et ne vous avisez pas à la dénigrer plus avant sinon vous tâterez de ma lame."
"Milles excuses Ser Rolph, loin de moi l'idée. j'ai grande admiration pour cette Dame."
"Dans ce cas c'est pardonné et je vous offre un verre de notre vin." dit Rolph en souriant.
"Voilà une idée qui me ravit d'avance." répondit Ser Rollos.
Un peu plus tard alors que Rolph sortait des poulaines, il croisa un de ses hommes.
"Va à Gibraltar et préviens Lord Brochet que des hommes les recherchent."
"Gwenn" murmura-t-il.
ils étaient profondément enfoncé dans la forêt et il n'y avait rien dans les environs, rien qui vaille la peine pour ce nain avide et cupide...
Le chevalier arriva enfin et se présenta:
"Bonjour messer, je suis Rolph, bienvenue à Grand-Cerf sur les terres de la maison York de Gibraltar. Que puis-je pour vous?"
"Bonjour Messer Rolph, je suis Ser Rollos de Petibon, envoyé spéciale de Lord Wade de Petibon. Je suis à la recherche des enfants de la maison Brochet de Roc-Fleuri. Deux filles et deux garçons nains sans défense. je suis en charge de les ramener sans danger chez eux. Ils sont passés sur la route semble-t-il, il y a de cela quelques semaines."
"Messer, je vois très bien de qui vous voulez parler, ils étaient accompagnés de quatre autres jeunes hommes. Ils sont passés par ici, il y a de cela 1 mois et demi environ je dirais. Ils sont restés ici une dizaine de jour et nous ont aidés à lutter contre les brigands qui sévissaient dans la région. Ils sont repartis sur la route il y a environ 1 mois après avoir soignés leurs blessures. Mais ne vous inquiétez pas pour eux, ils savent se battre et ils sont repartis avec une caravane Barathéon de passage."
"Merci Messer Rolph, je peux rester ici avec mes hommes pour la soirée. Nous repartirons d'ici demain matin."
"Vous êtes les bienvenues mais nous n'avons pas d'auberge ici."
"Le seigneur de la maison est ici?"
"Non, Dame Calypso est chez elle à Gibraltar avec ses sœurs et sa mère."
"Ce n'est pas commun, vous n'avez pas de seigneur mâle pour tenir la région."
"Lord York est mort il y a de cela 6 mois et Dame Calypso et ses sœurs sont parfaitement capable de me botter le cul et tous mes hommes ici réunis. Ne vous inquiétez pas pour elle et ne vous avisez pas à la dénigrer plus avant sinon vous tâterez de ma lame."
"Milles excuses Ser Rolph, loin de moi l'idée. j'ai grande admiration pour cette Dame."
"Dans ce cas c'est pardonné et je vous offre un verre de notre vin." dit Rolph en souriant.
"Voilà une idée qui me ravit d'avance." répondit Ser Rollos.
Un peu plus tard alors que Rolph sortait des poulaines, il croisa un de ses hommes.
"Va à Gibraltar et préviens Lord Brochet que des hommes les recherchent."
***
Merin et Ned avançait à pas lent dans la forêt dense, Alcyone et Adrian étaient avec eux. Ils traquaient cette biche depuis plusieurs heures déjà. Soudain Merin s'arrêta net devant une trace. Pas une trace de biche mais une trace d'enfant mais en plus profond. Mérin se retourna et indiqua la trace du doigt."Gwenn" murmura-t-il.
ils étaient profondément enfoncé dans la forêt et il n'y avait rien dans les environs, rien qui vaille la peine pour ce nain avide et cupide...
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"Un bataille équitable c'est quoi? C'est à dix contre un avec une intense préparation d'artillerie. Si tu veux de la finesse demande à ces tapettes de Space Marines." dixit un lieutenant de la garde Impériale.
"Ah! l'odeur de l'ork brûlé au petit matin, putain que c'est bon!" Le même lieutenant après la bataille.
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Re: la saga des brochet saison deux
Gardant sciemment les yeux dans le vague, Jonothor ne perdait en réalité pas une miette de la discussion.
Calypso, sa bienaimée, lui avait parlé de la malédiction familiale et du triste destin réservé aux Seigneurs York de Gibraltar.
Si il espérai atteindre les quarante printemps, il allait devoir se montrer plus prudent, plus posé et plus attentif aux potentiels serpent venimeux qui pourraient se cacher dans sa demeure.
Guibour et Baldric étaient des Valeurs inconnues et il souhaitai pouvoir les jauger plus avant, tant qu'ils ne se focaliserai pas sur lui.
"Pardon Ma Dame, je manquai d'attention. Que me demandiez vous?"
Demeter fronça un instant les sourcils, puis un éclair de compréhension passa dans ses yeux et un sourire fugace sur ses lèvres.
"Je sais que vous avez un tempérament simple et direct et que vous êtes un homme d'action plus que de palabres mon cher, mais votre avis m’intéresse.
Je vous demandai donc: Devons nous nous concentrer sur l’extension des terres arables ou sur la sécurisation du domaine?"
Jonothor fit mine d'une concentration intense, laissa un instant passer puis haussa ses larges épaules:
"Je ne puis me décider, alors je dirait les deux. Pourquoi ne pas lancer une grande battue pour capturer les hors la loi restants et les placer aux travaux forcés pour qu'ils défrichent la foret entre Grancerf et Gibraltar? Ils pourront ensuite choisir entre l’intégration a la population ou une punition appropriée a leurs crimes.
Donnez un toit et un bout de terre a un bandit et il le défendra plus ardemment que n’importe quel cerf."
L'auditoire resta silencieux un instant...
Calypso, sa bienaimée, lui avait parlé de la malédiction familiale et du triste destin réservé aux Seigneurs York de Gibraltar.
Si il espérai atteindre les quarante printemps, il allait devoir se montrer plus prudent, plus posé et plus attentif aux potentiels serpent venimeux qui pourraient se cacher dans sa demeure.
Guibour et Baldric étaient des Valeurs inconnues et il souhaitai pouvoir les jauger plus avant, tant qu'ils ne se focaliserai pas sur lui.
"Pardon Ma Dame, je manquai d'attention. Que me demandiez vous?"
Demeter fronça un instant les sourcils, puis un éclair de compréhension passa dans ses yeux et un sourire fugace sur ses lèvres.
"Je sais que vous avez un tempérament simple et direct et que vous êtes un homme d'action plus que de palabres mon cher, mais votre avis m’intéresse.
Je vous demandai donc: Devons nous nous concentrer sur l’extension des terres arables ou sur la sécurisation du domaine?"
Jonothor fit mine d'une concentration intense, laissa un instant passer puis haussa ses larges épaules:
"Je ne puis me décider, alors je dirait les deux. Pourquoi ne pas lancer une grande battue pour capturer les hors la loi restants et les placer aux travaux forcés pour qu'ils défrichent la foret entre Grancerf et Gibraltar? Ils pourront ensuite choisir entre l’intégration a la population ou une punition appropriée a leurs crimes.
Donnez un toit et un bout de terre a un bandit et il le défendra plus ardemment que n’importe quel cerf."
L'auditoire resta silencieux un instant...
_________________
J’ai vu tant de choses, que vous, humains, ne pourriez pas croire... De grands navires en feu surgissant de l’épaule d’Orion, j’ai vu des rayons fabuleux, des rayons C, briller dans l’ombre de la Porte de Tannhaüser. Tous ces moments se perdront dans l’oubli, comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir.
Blade Runner, Roy Batty.
Galish Tora- Messages : 2098
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Re: la saga des brochet saison deux
"Ton fiancé est plus subtil que je ne l'avais cru au premier abord, ma chérie." Demeter et Calypso devisaient en inspectant les vignes du domaine.
"Bien sûr mère! vous ne croyez tout de même pas que je serait tombée amoureuse d'un sot?"
"Non, évidement. Mais les hommes, surtout dans leurs jeunesse, sont par nature immatures et impulsifs. Cependant Jonothor fais preuve d'une grande sagacité en ménageant chèvre et choux, tout en laissant croire a ses interlocuteurs que les bonnes idées viennent d'eux. J'ai mis des années a apprendre cela a ton père."
Calypso eu un sourire ravis.
"A moi il m'a suffit d'une nuit. Mais j'avoue que c'est autant dut a mes talents qu'a son éducation...c'est un survivant a tout points de vu.
Quant il a été enlevé par ce bandit, il c'est adapté pour lui ressembler et rester en vie, quant la famille brochet est arrivée il a su saisir sa chance et leurs prouver son utilité et quant il a vu que mon cœur était ouvert, il a su si engouffrer.
Maintenant qu'il est sur le point de devenir un seigneur, il se remet a analyser son environnement et a préparer une nouvelle transformation en conséquence."
En redressant le tuteur d'un plant de vigne, Demeter parti d'un rire cristallin.
"Alors il fera un seigneur d’exception, ...si tu lui montre dans quel sens il doit pousser, que tu élague ses mauvaise branches et que nous arrachons le lierre qui viendrai a l’étouffer."
"Bien sûr mère! vous ne croyez tout de même pas que je serait tombée amoureuse d'un sot?"
"Non, évidement. Mais les hommes, surtout dans leurs jeunesse, sont par nature immatures et impulsifs. Cependant Jonothor fais preuve d'une grande sagacité en ménageant chèvre et choux, tout en laissant croire a ses interlocuteurs que les bonnes idées viennent d'eux. J'ai mis des années a apprendre cela a ton père."
Calypso eu un sourire ravis.
"A moi il m'a suffit d'une nuit. Mais j'avoue que c'est autant dut a mes talents qu'a son éducation...c'est un survivant a tout points de vu.
Quant il a été enlevé par ce bandit, il c'est adapté pour lui ressembler et rester en vie, quant la famille brochet est arrivée il a su saisir sa chance et leurs prouver son utilité et quant il a vu que mon cœur était ouvert, il a su si engouffrer.
Maintenant qu'il est sur le point de devenir un seigneur, il se remet a analyser son environnement et a préparer une nouvelle transformation en conséquence."
En redressant le tuteur d'un plant de vigne, Demeter parti d'un rire cristallin.
"Alors il fera un seigneur d’exception, ...si tu lui montre dans quel sens il doit pousser, que tu élague ses mauvaise branches et que nous arrachons le lierre qui viendrai a l’étouffer."
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J’ai vu tant de choses, que vous, humains, ne pourriez pas croire... De grands navires en feu surgissant de l’épaule d’Orion, j’ai vu des rayons fabuleux, des rayons C, briller dans l’ombre de la Porte de Tannhaüser. Tous ces moments se perdront dans l’oubli, comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir.
Blade Runner, Roy Batty.
Galish Tora- Messages : 2098
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Re: la saga des brochet saison deux
Après une heure de traque, Merin et Ned finirent par admettre la vérité: ils avaient tous deux perdu la trace du nabot. Ce qui les choquaient plus qu'ils ne voulaient l'admettre. Gwen est discret certes mais pas spécialement en forêt.
De plus un étrange sentiment d'être observé, les hantaient et le fait que le chien d'Adrian grognait n'arrangeait pas le stress. Un bref regard à ce dernier permis de voir que lui aussi avait le même sentiment. Alcyone ne disait pas un mot et ne semblait pas s'être aperçu du malaise qui tenaillait ses amis.
Merin dit discrètement à son jumeau: "on nous observe", ce à quoi Ned répondit par un laconique hochement de tête avant de dire de façon plus pragmatique.
"On ne trouvera plus ce cerf, rentrons."
Alcyone allait répondre lorsqu'elle comprit et se tut.
"On ne mangera pas de bon cuissot." conclut Adrian avant de rebrousser chemin avant de siffler et de dire
"Allez le chien on rentre."
Tyrion sortit de sa réflexion et regarda l'homme qu'il ne connaissait pas, il n'était pas du village. Il attendit un instant avant de demander.
"Qu'y a-t-il mon brave?"
"Je suis envoyé par le capitaine Rolph, il m'a chargé d'un message à votre intention."
"Qui est?"
"Pardon mon seigneur?"
"Ce message quel est-il? Parle!"
"Un chevalier avec une troupe, Ser Rollos, est à votre recherche. Il a dit qu'il a été chargé de vous retrouver mais il a dit qu'il est envoyé par Lord Wade et non votre père. Dans le doute le capitaine a préféré l'envoyer sur la route royale. Mais si vous voulez qu'il aille le chercher, il n'a pas plus de 1 journée d'avance. Il a préféré ne pas dire que vous étiez encore ici. il s'en excuse s'il a fauté."
"Oui messer, pourquoi faire si je puis me permettre?"
"On va faire une grande battue pour traquer Logan, Ça vous pose un problème?"
"Aucun messer, il est temps de finir le travail. C'était juste pour savoir comment s'équiper."
"On commence par où si je puis me permettre." ajouta-t-il.
Jonothor réfléchit avant de répondre. La question parfaitement légitime avait été posé avec le ton d'un professeur interrogeant son jeune élève pas très brillant, mais également avec la dose de respect qui ne permet pas de le gourmander pour son insolence.
"Je vous le direz quand vous serez prêt Capitaine."
"Bien Messer, à vos ordres!" Le mercenaire sourit en se retournant, indiquant à Jonothor qu'il avait passé le test.
Depuis son arrivée, Konrad jouait au jeu du vieux soldat qui testait son jeune capitaine et ne manquait pas de tester celui-ci pour vérifier s'il était digne qu'il risque sa peau pour lui.
Ils avaient déjà croisé le fer plusieurs fois et le moins que l'on puisse dire c'est que l'ancien mercenaire était un bretteur de talent puisqu'il avait battu Jonothor à chaque fois mais comme il l'avait fait remarqué, à chaque fois il serait sans doute mort de ses blessures après. Jonothor restait méfiant avec son capitaine mais pour le moment il avait fait montre d'une loyauté à toute épreuve et avait châtié avec la plus grande sévérité les quelques hommes qui avaient voulu s'enfuir ou enfreindre la loi. Il était manifeste que Konrad était beaucoup plus complexe que sa réputation le disait.
Il leva la tête et vit Ned, Merin, Adrian et Alcyone rentrer de la chasse et pour une fois bredouille et en avance également pensa-t-il soudain.
De plus un étrange sentiment d'être observé, les hantaient et le fait que le chien d'Adrian grognait n'arrangeait pas le stress. Un bref regard à ce dernier permis de voir que lui aussi avait le même sentiment. Alcyone ne disait pas un mot et ne semblait pas s'être aperçu du malaise qui tenaillait ses amis.
Merin dit discrètement à son jumeau: "on nous observe", ce à quoi Ned répondit par un laconique hochement de tête avant de dire de façon plus pragmatique.
"On ne trouvera plus ce cerf, rentrons."
Alcyone allait répondre lorsqu'elle comprit et se tut.
"On ne mangera pas de bon cuissot." conclut Adrian avant de rebrousser chemin avant de siffler et de dire
"Allez le chien on rentre."
***
"Seigneur Brochet?" demanda un larbin.Tyrion sortit de sa réflexion et regarda l'homme qu'il ne connaissait pas, il n'était pas du village. Il attendit un instant avant de demander.
"Qu'y a-t-il mon brave?"
"Je suis envoyé par le capitaine Rolph, il m'a chargé d'un message à votre intention."
"Qui est?"
"Pardon mon seigneur?"
"Ce message quel est-il? Parle!"
"Un chevalier avec une troupe, Ser Rollos, est à votre recherche. Il a dit qu'il a été chargé de vous retrouver mais il a dit qu'il est envoyé par Lord Wade et non votre père. Dans le doute le capitaine a préféré l'envoyer sur la route royale. Mais si vous voulez qu'il aille le chercher, il n'a pas plus de 1 journée d'avance. Il a préféré ne pas dire que vous étiez encore ici. il s'en excuse s'il a fauté."
***
"Préparez vos hommes! Capitaine Konrad." dit Jonothor."Oui messer, pourquoi faire si je puis me permettre?"
"On va faire une grande battue pour traquer Logan, Ça vous pose un problème?"
"Aucun messer, il est temps de finir le travail. C'était juste pour savoir comment s'équiper."
"On commence par où si je puis me permettre." ajouta-t-il.
Jonothor réfléchit avant de répondre. La question parfaitement légitime avait été posé avec le ton d'un professeur interrogeant son jeune élève pas très brillant, mais également avec la dose de respect qui ne permet pas de le gourmander pour son insolence.
"Je vous le direz quand vous serez prêt Capitaine."
"Bien Messer, à vos ordres!" Le mercenaire sourit en se retournant, indiquant à Jonothor qu'il avait passé le test.
Depuis son arrivée, Konrad jouait au jeu du vieux soldat qui testait son jeune capitaine et ne manquait pas de tester celui-ci pour vérifier s'il était digne qu'il risque sa peau pour lui.
Ils avaient déjà croisé le fer plusieurs fois et le moins que l'on puisse dire c'est que l'ancien mercenaire était un bretteur de talent puisqu'il avait battu Jonothor à chaque fois mais comme il l'avait fait remarqué, à chaque fois il serait sans doute mort de ses blessures après. Jonothor restait méfiant avec son capitaine mais pour le moment il avait fait montre d'une loyauté à toute épreuve et avait châtié avec la plus grande sévérité les quelques hommes qui avaient voulu s'enfuir ou enfreindre la loi. Il était manifeste que Konrad était beaucoup plus complexe que sa réputation le disait.
Il leva la tête et vit Ned, Merin, Adrian et Alcyone rentrer de la chasse et pour une fois bredouille et en avance également pensa-t-il soudain.
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"Un bataille équitable c'est quoi? C'est à dix contre un avec une intense préparation d'artillerie. Si tu veux de la finesse demande à ces tapettes de Space Marines." dixit un lieutenant de la garde Impériale.
"Ah! l'odeur de l'ork brûlé au petit matin, putain que c'est bon!" Le même lieutenant après la bataille.
edgar pied leger- Messages : 2705
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Localisation : t'aimerai bien le savoir hein!
Re: la saga des brochet saison deux
Plusieurs jours se passèrent depuis le retour de Tyrion et ses amis de l'expédition contre les brigands, ils se remettaient de leurs blessures et angoissaient sans doute un peu à l'idée de voir surgir les dorniens un beau matin. Mais les dernières nouvelles des éclaireurs indiquaient que les ennemis se reformaient aux environs d'Argens. Cela avait permis de recevoir les réponses favorables des seigneurs voisins et qu'ils envoyaient des troupes pour les aider.
Dans le même intervalle, le septon Alois indiqua qu'il serait prêt avec ses hommes le moment venu et qu'il prie pour que le guerrier bénisse leur bataille.
A Gibraltar l'ambiance était morose et les repas qui se passaient à l'accoutumée dans un brouhaha de conversation à bâton rompu, étaient désormais silencieux et les seuls conversations étaient centrés sur les évènements à venir.
"Croyez-vous que vous serez rétabli à temps Jonothor?" demanda Dame Déméter.
"Oui parfaitement grâce à vos soins et ceux du septon. Et quand bien même, je me battrai qu'importe mon état." répondit Jonothor avec assurance.
"Je le sais très bien mon cher ami, je ne doute pas un seul instant de votre courage et de votre volonté." répondit la matriarche York alors que Calypso posa sa douce main dans celle de Jonothor et lui adressa un sourire triste.
"Je préférerai vous savoir en pleine forme, voilà tout."
"Où en sommes nous de nos préparations?" demanda Tyrion plus pour changer de sujet.
"Les troupes de la maison sont prêtes au combat aussi bien qu'ils puissent l'être. A ce propos le capitaine Rolph a fait un travail de grande qualité." indiqua Jonothor soulagé de parler d'autre chose.
"Mes troupes seront prêtes à temps également, j'ai pu reformer une cavalerie et une troupe d'hommes à pied avec les restes de ma garnison." indiqua Ser Daguet.
"De plus J'ai reçu ce soir la confirmation que les troupes Beesbury seront là demain et sans doute les troupes Carner. Tous laissent à penser que l'on aura un renfort appréciable de près de 600 hommes en combinant les deux forces. Mais pas de cavalerie." ajouta-t-il.
"Cela porterai nos forces à plus de 1000 hommes." Tyrion était impressionné.
"Oui mais pour avoir levé des forces aussi rapidement je suis prêt à parier que ce sont des troupes de paysans inexpérimentés. Je doute que les seigneurs Beesbury et Carner se délestent de bonnes troupes, ils ont trop peur de dégarnir leurs terres et d'être à la merci des Dorniens." indiqua Daguet.
"Qu'en est-il de l'ennemi?" demanda Elektra.
"C'est une bonne question dame Elektra. Qu'en est-il Kévan?" demanda Ser Daguet.
"Ils se regroupent non loin de Argens. J'ai observé aussi bien que j'ai pu et j'ai repéré la garde personnelle de Ser Carlo, des chevaliers en harnois ainsi que deux unités de cavalerie. C'est le parti qui a attaqué Argens et vous messer Daguet. J'ai repéré également des troupes de pillards, des brigands de grand chemin qui se sont ralliés aux Dorniens pour piller. je dirai 300 de ces brigands." indiqua Kévan.
" A cela on peut ajouter les hommes de Circé soit 300 hommes d'armes et une centaine d'éclaireurs." indiqua Daguet.
" Si je compte bien cela fait dans les 700 hommes environ n'est-ce pas?" demanda Calypso.
"C'est cela ma douce nous sommes favorable en nombre mais pas de beaucoup et encore moins en qualité."
"Je confirme Ser Jonothor, les Dorniens sont des vétérans pour la plupart." indiqua Kévan.
"Il ne reste plus qu'à savoir qui va commander notre armée? Vous allez fournir le plus gros de l'armée Dame Calypso et vous Ser Jonothor, moi je n'ai que des écuyers et une troupe d'hommes du guet, la décision vous en revient. Mais attendez l'arrivée de tout nos renforts pour vous prononcer. je sais de source sûr que Ser Jehan de Bergerac est chez lui et c'est un génie tactique." expliqua Daguet.
"La qualité des troupes est meilleurs que je ne pensait." dit Daguet à Jonothor alors qu'ils accueillaient les troupes.
"C'est lui Ser Jehan?" demanda Jonothor en désignant Ser Roland.
"Non lui c'est Ser Roland, le frère de Ser Jehan. c'est un piètre combattant, un mauvais commandant et un tacticien exécrable mais qui se prend pour Aégon. L'autre c'est Ser Jonas Bronte il est plus à l'aise à boire et à baiser la gueuse et c'est un couard de la pire espèce." expliqua Daguet.
"En somme ils nous envoient les commandants sacrifiable." répondit Jonothor laconique.
"Voyez le bon côté des choses, il y a au moins de bonnes unités entrainées." indiqua Tyrion.
"Ton optimisme me fascine, Tyrion." répondit Jonothor en baissant la tête pour regarder son ami.
"On retourne à Grandcerf, je dois parler à un capitaine." dit-il à ses hommes avec son regard des mauvais jours.
Ses hommes se regardèrent, ils sourirent à l'idée qu'ils allaient bien s'amuser là-bas.
Dans le même intervalle, le septon Alois indiqua qu'il serait prêt avec ses hommes le moment venu et qu'il prie pour que le guerrier bénisse leur bataille.
A Gibraltar l'ambiance était morose et les repas qui se passaient à l'accoutumée dans un brouhaha de conversation à bâton rompu, étaient désormais silencieux et les seuls conversations étaient centrés sur les évènements à venir.
"Croyez-vous que vous serez rétabli à temps Jonothor?" demanda Dame Déméter.
"Oui parfaitement grâce à vos soins et ceux du septon. Et quand bien même, je me battrai qu'importe mon état." répondit Jonothor avec assurance.
"Je le sais très bien mon cher ami, je ne doute pas un seul instant de votre courage et de votre volonté." répondit la matriarche York alors que Calypso posa sa douce main dans celle de Jonothor et lui adressa un sourire triste.
"Je préférerai vous savoir en pleine forme, voilà tout."
"Où en sommes nous de nos préparations?" demanda Tyrion plus pour changer de sujet.
"Les troupes de la maison sont prêtes au combat aussi bien qu'ils puissent l'être. A ce propos le capitaine Rolph a fait un travail de grande qualité." indiqua Jonothor soulagé de parler d'autre chose.
"Mes troupes seront prêtes à temps également, j'ai pu reformer une cavalerie et une troupe d'hommes à pied avec les restes de ma garnison." indiqua Ser Daguet.
"De plus J'ai reçu ce soir la confirmation que les troupes Beesbury seront là demain et sans doute les troupes Carner. Tous laissent à penser que l'on aura un renfort appréciable de près de 600 hommes en combinant les deux forces. Mais pas de cavalerie." ajouta-t-il.
"Cela porterai nos forces à plus de 1000 hommes." Tyrion était impressionné.
"Oui mais pour avoir levé des forces aussi rapidement je suis prêt à parier que ce sont des troupes de paysans inexpérimentés. Je doute que les seigneurs Beesbury et Carner se délestent de bonnes troupes, ils ont trop peur de dégarnir leurs terres et d'être à la merci des Dorniens." indiqua Daguet.
"Qu'en est-il de l'ennemi?" demanda Elektra.
"C'est une bonne question dame Elektra. Qu'en est-il Kévan?" demanda Ser Daguet.
"Ils se regroupent non loin de Argens. J'ai observé aussi bien que j'ai pu et j'ai repéré la garde personnelle de Ser Carlo, des chevaliers en harnois ainsi que deux unités de cavalerie. C'est le parti qui a attaqué Argens et vous messer Daguet. J'ai repéré également des troupes de pillards, des brigands de grand chemin qui se sont ralliés aux Dorniens pour piller. je dirai 300 de ces brigands." indiqua Kévan.
" A cela on peut ajouter les hommes de Circé soit 300 hommes d'armes et une centaine d'éclaireurs." indiqua Daguet.
" Si je compte bien cela fait dans les 700 hommes environ n'est-ce pas?" demanda Calypso.
"C'est cela ma douce nous sommes favorable en nombre mais pas de beaucoup et encore moins en qualité."
"Je confirme Ser Jonothor, les Dorniens sont des vétérans pour la plupart." indiqua Kévan.
"Il ne reste plus qu'à savoir qui va commander notre armée? Vous allez fournir le plus gros de l'armée Dame Calypso et vous Ser Jonothor, moi je n'ai que des écuyers et une troupe d'hommes du guet, la décision vous en revient. Mais attendez l'arrivée de tout nos renforts pour vous prononcer. je sais de source sûr que Ser Jehan de Bergerac est chez lui et c'est un génie tactique." expliqua Daguet.
***
Le lendemain matin ils virent arriver les troupes Carner composées de 100 hommes d'armes et de 200 paysans et commandé par Ser Jonas Bronte, un vieux chevalier puis quelques heures après les troupes Beesbury composées de 100 éclaireurs et 200 paysans et commandé par Ser Roland de Bergerac, également un vieux chevalier."La qualité des troupes est meilleurs que je ne pensait." dit Daguet à Jonothor alors qu'ils accueillaient les troupes.
"C'est lui Ser Jehan?" demanda Jonothor en désignant Ser Roland.
"Non lui c'est Ser Roland, le frère de Ser Jehan. c'est un piètre combattant, un mauvais commandant et un tacticien exécrable mais qui se prend pour Aégon. L'autre c'est Ser Jonas Bronte il est plus à l'aise à boire et à baiser la gueuse et c'est un couard de la pire espèce." expliqua Daguet.
"En somme ils nous envoient les commandants sacrifiable." répondit Jonothor laconique.
"Voyez le bon côté des choses, il y a au moins de bonnes unités entrainées." indiqua Tyrion.
"Ton optimisme me fascine, Tyrion." répondit Jonothor en baissant la tête pour regarder son ami.
***
A une centaine de kilomètre de là dans une auberge, Ser Rollos ne décolérait pas. Ce Capitaine m'a bien blousé pensait-il, ils étaient encore dans la région de Grandcerf quand je suis passé. Je vais lui retirer l'envie de me duper à ce fils de pute."On retourne à Grandcerf, je dois parler à un capitaine." dit-il à ses hommes avec son regard des mauvais jours.
Ses hommes se regardèrent, ils sourirent à l'idée qu'ils allaient bien s'amuser là-bas.
_________________
"Un bataille équitable c'est quoi? C'est à dix contre un avec une intense préparation d'artillerie. Si tu veux de la finesse demande à ces tapettes de Space Marines." dixit un lieutenant de la garde Impériale.
"Ah! l'odeur de l'ork brûlé au petit matin, putain que c'est bon!" Le même lieutenant après la bataille.
edgar pied leger- Messages : 2705
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Age : 52
Localisation : t'aimerai bien le savoir hein!
Re: la saga des brochet saison deux
Elektra et Tyrion marchaient côte à côte sur la place de Gibraltar, sans dire un mot, ils marchaient simplement. Ils étaient resté ainsi silencieux durant de longues minutes, juste à savourer le moment présent ensemble. Finalement Elektra brisa le silence et lui demanda à mi-voix comme si elle n'avait pas la force.
"Est-tu certain de vouloir y aller? La bataille est prévue pour demain et tu nous dois rien, au contraire nous te devons déjà tellement à toi et tes amis."
Tyrion pris un air amusé qui froissa Elektra de prime abord, puis voyant sa réaction prit la parole :
"Je ne crois pas t'avoir déjà parlé de mon Maître d'arme, Ser William, un homme de grande valeur dont la verbe est aussi prompte à désarmer son adversaire que sa lame à lui trancher la gorge. Il avait l'habitude de me clamer quand il me sentait faillir :
Tiens ferme et défend toi comme un homme de cœur, le danger le plus grand est celui de la peur."
"Jonothor, je suis si inquiet, qu'allons nous devenir si demain..."
Jonothor plaça délicatement un doigt sur ses lèvres pour l'interrompre.
Ensuite, Jonothor en posant un baisé sur son front dit:
"Inutile d’être fataliste ma chérie, la maison york a connu bien des revers et elle est encore là.
J'aimerai te savoir a l'abri loin du combat, mais je sais que tu est une guerrière et que tu ne craint pas le danger. Nous nous battrons côtes a côtes dans ce cas. Mais si mon cœur est serein face a la mort, je refuse de tomber avant de nous avoir vu triompher."
Il plongea ses yeux dans les profondeurs du regard de calypso et souri:
"Et puis je t'ai promis un mariage, crois tu que je soit homme a me parjurer?"
Finalement Alcyone brisa le silence et dit d'une voix inhabituellement brisée.
"Vous nous devez rien, vous n'avez pas à aller vous battre, enfin surtout toi Mérin, écoutes ton frère pour une fois. cette guerre ne vous concerne plus."
Mérin resta un moment silencieux, plongé dans les yeux émeraudes d'Alcyone.
"Je dois bien t'avouer Alcyone que ça m'a traversé l'esprit de prendre nos chevaux et de partir vers le nord. Une armée aussi féroce que ces Dorniens, ça retournerait le sang de guerriers plus expérimentés que Ned ou moi. Et ce n'est pas comme si j'étais sûr que quelque-chose ou quelqu’un me retenait ici..." lâcha t'il avec un brin d'amertume.
"Mais je crois que j'aurais du mal à me regarder de nouveau dans un miroir, si je vous laissais à la merci de ces pillards. Et puis Ned me casserait les pieds avec cette histoire tout le reste de ma vie et ça serait clairement pire que d'affronter des Dorniens!" Il fit un clin d’œil à son frère, qui lui répondit d'un coup de coude dans les côtes en souriant.
Alcyone se mit sur la pointe des pieds et lui donna un baiser. "merci". dit elle simplement...
"Que faites-vous encore là, Bella?"
"Je fais mon ouvrage, vous voyez-bien, mon cher."
"Vous m'avez parfaitement compris Dame Bella. Vous devriez être parti rejoindre votre famille ou au pire loin de la région. Demain la grande bataille décidera de son sort et cela ne vous concerne pas. Pourquoi votre frère et vous avez décidé de rester?"
"Simplement car il y va de notre honneur. Les York nous ont accueilli chaleureusement même quand leur situation était catastrophique. Nous ne fuirons pas alors que l'ennemi est à leurs portes. Il y va de notre honneur. Tyrion comme moi ne pourrions pas supporter cela."
"J'admire votre courage et votre sens de l'honneur ma dame. Mais en toute honnêteté votre frère leurs a largement rendu la pareil. Votre honneur est sauf et Dame Calypso et Dame Déméter vous ont enjoint de quitter la région vous mettre en sécurité."
"Ce sont mes amis, quelle femme serai-je si je fuyais au moment où elles en ont besoin. Je ne sais pas me battre mais je peux aider à soigner les blessé ou à réconforter la populace."
Ser Daguet se leva de sa chaise et vint se mettre à côté de Bella. Il posa genou à terre avant de lui prendre la main pour déposer un délicat baiser dessus.
"Ma dame voici un gage de mon admiration pour vous et de ma promesse de lutter à vos côtés et celui de votre frère pour aider votre maison."
"Grand merci Messer, mais je n'ai pas dis cela pour vous manipuler." Dit Bella le rouge aux joues.
"Je sais ma dame."
Ser Daguet se leva et fit une légère révérence avant de prendre congé.
"Est-tu certain de vouloir y aller? La bataille est prévue pour demain et tu nous dois rien, au contraire nous te devons déjà tellement à toi et tes amis."
Tyrion pris un air amusé qui froissa Elektra de prime abord, puis voyant sa réaction prit la parole :
"Je ne crois pas t'avoir déjà parlé de mon Maître d'arme, Ser William, un homme de grande valeur dont la verbe est aussi prompte à désarmer son adversaire que sa lame à lui trancher la gorge. Il avait l'habitude de me clamer quand il me sentait faillir :
Tiens ferme et défend toi comme un homme de cœur, le danger le plus grand est celui de la peur."
***
Un peu plus loin Calypso et Jonothor revenait également d'une balade en amoureux."Jonothor, je suis si inquiet, qu'allons nous devenir si demain..."
Jonothor plaça délicatement un doigt sur ses lèvres pour l'interrompre.
Ensuite, Jonothor en posant un baisé sur son front dit:
"Inutile d’être fataliste ma chérie, la maison york a connu bien des revers et elle est encore là.
J'aimerai te savoir a l'abri loin du combat, mais je sais que tu est une guerrière et que tu ne craint pas le danger. Nous nous battrons côtes a côtes dans ce cas. Mais si mon cœur est serein face a la mort, je refuse de tomber avant de nous avoir vu triompher."
Il plongea ses yeux dans les profondeurs du regard de calypso et souri:
"Et puis je t'ai promis un mariage, crois tu que je soit homme a me parjurer?"
***
La chasse n'avait pas la même saveur que d'habitude Ned, Mérin et Alcyone avançaient à pas de loup mais sans réellement vouloir trouver une cible.Finalement Alcyone brisa le silence et dit d'une voix inhabituellement brisée.
"Vous nous devez rien, vous n'avez pas à aller vous battre, enfin surtout toi Mérin, écoutes ton frère pour une fois. cette guerre ne vous concerne plus."
Mérin resta un moment silencieux, plongé dans les yeux émeraudes d'Alcyone.
"Je dois bien t'avouer Alcyone que ça m'a traversé l'esprit de prendre nos chevaux et de partir vers le nord. Une armée aussi féroce que ces Dorniens, ça retournerait le sang de guerriers plus expérimentés que Ned ou moi. Et ce n'est pas comme si j'étais sûr que quelque-chose ou quelqu’un me retenait ici..." lâcha t'il avec un brin d'amertume.
"Mais je crois que j'aurais du mal à me regarder de nouveau dans un miroir, si je vous laissais à la merci de ces pillards. Et puis Ned me casserait les pieds avec cette histoire tout le reste de ma vie et ça serait clairement pire que d'affronter des Dorniens!" Il fit un clin d’œil à son frère, qui lui répondit d'un coup de coude dans les côtes en souriant.
Alcyone se mit sur la pointe des pieds et lui donna un baiser. "merci". dit elle simplement...
***
Bella et Ser Daguet discutaient dans la grande salle, Bella faisait son ouvrage avec Nyssa et Daguet restait là à les contempler, silencieux. Finalement il demanda:"Que faites-vous encore là, Bella?"
"Je fais mon ouvrage, vous voyez-bien, mon cher."
"Vous m'avez parfaitement compris Dame Bella. Vous devriez être parti rejoindre votre famille ou au pire loin de la région. Demain la grande bataille décidera de son sort et cela ne vous concerne pas. Pourquoi votre frère et vous avez décidé de rester?"
"Simplement car il y va de notre honneur. Les York nous ont accueilli chaleureusement même quand leur situation était catastrophique. Nous ne fuirons pas alors que l'ennemi est à leurs portes. Il y va de notre honneur. Tyrion comme moi ne pourrions pas supporter cela."
"J'admire votre courage et votre sens de l'honneur ma dame. Mais en toute honnêteté votre frère leurs a largement rendu la pareil. Votre honneur est sauf et Dame Calypso et Dame Déméter vous ont enjoint de quitter la région vous mettre en sécurité."
"Ce sont mes amis, quelle femme serai-je si je fuyais au moment où elles en ont besoin. Je ne sais pas me battre mais je peux aider à soigner les blessé ou à réconforter la populace."
Ser Daguet se leva de sa chaise et vint se mettre à côté de Bella. Il posa genou à terre avant de lui prendre la main pour déposer un délicat baiser dessus.
"Ma dame voici un gage de mon admiration pour vous et de ma promesse de lutter à vos côtés et celui de votre frère pour aider votre maison."
"Grand merci Messer, mais je n'ai pas dis cela pour vous manipuler." Dit Bella le rouge aux joues.
"Je sais ma dame."
Ser Daguet se leva et fit une légère révérence avant de prendre congé.
Dernière édition par edgar pied leger le Mer 8 Avr - 18:10, édité 4 fois (Raison : ajout des dialogues de gueute, galish et karadog et suppression de leurs posts)
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"Un bataille équitable c'est quoi? C'est à dix contre un avec une intense préparation d'artillerie. Si tu veux de la finesse demande à ces tapettes de Space Marines." dixit un lieutenant de la garde Impériale.
"Ah! l'odeur de l'ork brûlé au petit matin, putain que c'est bon!" Le même lieutenant après la bataille.
edgar pied leger- Messages : 2705
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Age : 52
Localisation : t'aimerai bien le savoir hein!
Re: la saga des brochet saison deux
"Père, nous devons agir! Sinon ce ne sera plus une honte mais une infamie" hurlait le jeune chevalier.
Tous les serviteurs de la demeure pouvait entendre le jeune Gavriel hurler de rage. Ils ne savaient le contenu du message apporté par le héraut de Ser Jehan mais il devait être important pour que le jeune chevalier hurle ainsi après son père, le vieux Lord Connor Lollyston.
"Ne me parles pas ainsi sous mon toit!" hurla à son tour le vieux Lord.
"Ser Jehan, ton ami de 30 ans, mon parrain, l'homme qui m'a adoubé, dois-je te rappeler demande notre aide pour combattre la vermine Dornienne, nous devons répondre à sa demande et soutenir les Yorks et les Nouë." Gavriel avait retrouvé un ton plus respectueux pour parler.
"Les Dorniens sont nos alliés. Si nous intervenons ce sera pour les aider." Expliqua Lord Connor.
"Ils ne sont les alliés de personne, ils massacrent, pillent et violent sans pitié la région. Pourquoi as-tu suivi l'opinion de Connor? Juste parce que c'est ton héritier? il va mené ta maison à la ruine et à l'infamie en trahissant notre suzerain. Pourquoi avoir suivi ce crétin de Wanderman dans sa trahison?"
"Notre maison deviendra la plus puissante de la région." Répondit Lord Connor.
"Certes! mais le nom des Lollyston deviendra synonyme de traîtrise. Je ne permettrai pas cela père, je vous le jure sur mon honneur."
"Arrêtes un peu avec ton honneur, veux-tu! Il n'y a pas de place à l'honneur et aux bons sentiments en politique. Nous avons pris un risque calculé. Et tu ne feras rien, tu m'entends, tu ne feras rien que je ne t'ai pas au préalable ordonné de faire." dit Lord Connor en dévisageant son père d'un air furieux.
"Bien Père, puis-je me retirer?"
Au moment où Ser Gavriel allait sortir, il croisa Ser Carlo Noirmont, le commandant des Dorniens, qui entra comme si la maison lui appartenait.
"Reste Gavriel!" s'exclama Lord Connor.
"Lord Connor, nous avons besoin de vos hommes pour prendre de flanc l'armée adverse." Ordonnait Noirmont d'une voix puissante.
"Père vous n'allez pas accepter la demande de cette vermine."
Noirmont regarda un instant le jeune chevalier, méprisant, puis reporta son regard vers le seigneur des lieux.
"Faites taire votre moutard ou je le décapite séance tenante. Ce n'est pas une demande c'est un ordre. Si vous n'acceptez pas je viendrai m'occuper de vous ensuite et je vous certifie que vous ne le voulez pas."
Noirmont se retourna et d'un geste envoya un violent coup de poing à Gavriel, qui surpris n'eut pas le temps de réagir et s'écroula non loin de là.
Avant même de pouvoir réagir, l'épée de Noirmont était sur sa gorge.
"Tu n'est qu'un pauvre crétin, je pourrais te tuer d'un seul geste." Il enleva son épée d'un geste rapide non sans le marquer au menton d'une petite estafilade.
Noirmont reparti aussi vite qu'il était arrivé non sans lâcher un dernier avertissement.
"Demain votre armée sera sur le champ de bataille et vous attaquerez à mon signal."
Gavriel se releva, énervé de s'être fait avoir ainsi.
"Père vous n'allez pas accepter cela?"
"La ferme et prépare notre armée." lâcha Lord Connor.
"Mais Père?"
"Tu as entendu, tu lèves notre armée et tu pars au combat. Tu commanderas notre armée, tu rejoindras le champ de bataille et tu attaqueras à son signal."
"Bien Père, je ferai selon votre bon vouloir."
"J'aime mieux cela."
"Que penses-tu de demain?" demanda Circé.
"Que l'on va massacrer la pitoyable armée qui nous sera opposé." dit Carlo avec certitude.
"Je te trouve bien optimiste." dit simplement Circé.
"Ils sont plus nombreux que nous." indiqua-t-elle.
"Peut-être mais ils ont des troupes de merde, une bande de pégus appeurés et de garnisons inexpérimentées."
"Mouais en attendant le jeunot nous a échappé deux fois et si les ennemis ne sont pas abrutis, ils vont lui confier le commandement."
"Ça! Ça reste à voir. Qu'ils ne sont pas abrutis. D'après Woodward, les Carner et les Beesbury n'ont pas envoyé les meilleurs, ni leurs meilleures troupes. Les York c'est l'inconnu en revanche."
"Justement je n'aime pas l'inconnu, ni la surprise ou alors seulement dans ma couche." indiqua Circé avec un sourire lubrique.
"C'est pour cela que je réserve une petite surprise à nos amis."
Tous les serviteurs de la demeure pouvait entendre le jeune Gavriel hurler de rage. Ils ne savaient le contenu du message apporté par le héraut de Ser Jehan mais il devait être important pour que le jeune chevalier hurle ainsi après son père, le vieux Lord Connor Lollyston.
"Ne me parles pas ainsi sous mon toit!" hurla à son tour le vieux Lord.
"Ser Jehan, ton ami de 30 ans, mon parrain, l'homme qui m'a adoubé, dois-je te rappeler demande notre aide pour combattre la vermine Dornienne, nous devons répondre à sa demande et soutenir les Yorks et les Nouë." Gavriel avait retrouvé un ton plus respectueux pour parler.
"Les Dorniens sont nos alliés. Si nous intervenons ce sera pour les aider." Expliqua Lord Connor.
"Ils ne sont les alliés de personne, ils massacrent, pillent et violent sans pitié la région. Pourquoi as-tu suivi l'opinion de Connor? Juste parce que c'est ton héritier? il va mené ta maison à la ruine et à l'infamie en trahissant notre suzerain. Pourquoi avoir suivi ce crétin de Wanderman dans sa trahison?"
"Notre maison deviendra la plus puissante de la région." Répondit Lord Connor.
"Certes! mais le nom des Lollyston deviendra synonyme de traîtrise. Je ne permettrai pas cela père, je vous le jure sur mon honneur."
"Arrêtes un peu avec ton honneur, veux-tu! Il n'y a pas de place à l'honneur et aux bons sentiments en politique. Nous avons pris un risque calculé. Et tu ne feras rien, tu m'entends, tu ne feras rien que je ne t'ai pas au préalable ordonné de faire." dit Lord Connor en dévisageant son père d'un air furieux.
"Bien Père, puis-je me retirer?"
Au moment où Ser Gavriel allait sortir, il croisa Ser Carlo Noirmont, le commandant des Dorniens, qui entra comme si la maison lui appartenait.
"Reste Gavriel!" s'exclama Lord Connor.
"Lord Connor, nous avons besoin de vos hommes pour prendre de flanc l'armée adverse." Ordonnait Noirmont d'une voix puissante.
"Père vous n'allez pas accepter la demande de cette vermine."
Noirmont regarda un instant le jeune chevalier, méprisant, puis reporta son regard vers le seigneur des lieux.
"Faites taire votre moutard ou je le décapite séance tenante. Ce n'est pas une demande c'est un ordre. Si vous n'acceptez pas je viendrai m'occuper de vous ensuite et je vous certifie que vous ne le voulez pas."
Noirmont se retourna et d'un geste envoya un violent coup de poing à Gavriel, qui surpris n'eut pas le temps de réagir et s'écroula non loin de là.
Avant même de pouvoir réagir, l'épée de Noirmont était sur sa gorge.
"Tu n'est qu'un pauvre crétin, je pourrais te tuer d'un seul geste." Il enleva son épée d'un geste rapide non sans le marquer au menton d'une petite estafilade.
Noirmont reparti aussi vite qu'il était arrivé non sans lâcher un dernier avertissement.
"Demain votre armée sera sur le champ de bataille et vous attaquerez à mon signal."
Gavriel se releva, énervé de s'être fait avoir ainsi.
"Père vous n'allez pas accepter cela?"
"La ferme et prépare notre armée." lâcha Lord Connor.
"Mais Père?"
"Tu as entendu, tu lèves notre armée et tu pars au combat. Tu commanderas notre armée, tu rejoindras le champ de bataille et tu attaqueras à son signal."
"Bien Père, je ferai selon votre bon vouloir."
"J'aime mieux cela."
***
Les Dorniens avaient établi leur campement non loin de Argens sur Brûlebleue. Circé et Carlo étaient comme à l'accoutumé côte à côte et discutait tranquillement."Que penses-tu de demain?" demanda Circé.
"Que l'on va massacrer la pitoyable armée qui nous sera opposé." dit Carlo avec certitude.
"Je te trouve bien optimiste." dit simplement Circé.
"Ils sont plus nombreux que nous." indiqua-t-elle.
"Peut-être mais ils ont des troupes de merde, une bande de pégus appeurés et de garnisons inexpérimentées."
"Mouais en attendant le jeunot nous a échappé deux fois et si les ennemis ne sont pas abrutis, ils vont lui confier le commandement."
"Ça! Ça reste à voir. Qu'ils ne sont pas abrutis. D'après Woodward, les Carner et les Beesbury n'ont pas envoyé les meilleurs, ni leurs meilleures troupes. Les York c'est l'inconnu en revanche."
"Justement je n'aime pas l'inconnu, ni la surprise ou alors seulement dans ma couche." indiqua Circé avec un sourire lubrique.
"C'est pour cela que je réserve une petite surprise à nos amis."
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"Un bataille équitable c'est quoi? C'est à dix contre un avec une intense préparation d'artillerie. Si tu veux de la finesse demande à ces tapettes de Space Marines." dixit un lieutenant de la garde Impériale.
"Ah! l'odeur de l'ork brûlé au petit matin, putain que c'est bon!" Le même lieutenant après la bataille.
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Re: la saga des brochet saison deux
"Vous pouvez vous vanter de nous avoir fait courir." dit Ser Daguet d'un air las.
Deux semaines de poursuite avaient été nécessaires à Daguet et Gavriel pour détruire les restes de l'armée Dornienne ainsi que les pillards et capturer les deux chefs.
Devant lui Ser Carlo Noirmont et sa sœur Dame Circé Noirmont étaient enchaîné et sous la surveillance de plusieurs chevaliers. Ils s'étaient battu vaillament et ce malgré leurs blessures et leurs fatigues.
"Vous avez vaillamment lutté mais c'est terminé." continua Ser Daguet.
"Qu'allez-vous faire de nous maintenant? Nous tuer?" demanda Circé.
"Les Septs savent que vous méritez ce sort amplement et plutôt mille fois qu'une d'ailleurs!" s'exclama Daguet.
"D'ailleurs c'est le sort que vous m'auriez réserver je suppose si nos rôles étaient inversés n'est-ce pas?"
Daguet fit un moue de la bouche pour signifier qu'il n'attendait pas de réponse.
"Mais vous avez de la chance, je ne suis pas comme vous. Je vais vous remettre à votre père avec une rançon si vous me promettez sur votre honneur et devant un septon que jamais plus vous ne reviendrez piller mes terres et celles de la région." expliqua Daguet à ses deux prisonniers.
"Et si on ne promet rien?" défia Circé.
"Je ferai décapité votre cher frère après l'avoir laissé aux bons soins de mes paysans et vous Dame Circé, je vous ferai couper la langue avant de vous enfermer dans un septistère de filles de l'étranger. Je vous aurais bien données à mes hommes mais connaissant vos penchants lubriques, je pensais que vous auriez apprécié."
"Personnellement je suis rêverai que vous refusiez de prêter serment mais la politique est telle que je me dois de vous proposer une alternative et de laisser une chance à votre père de récupérer ces chers enfants."
"D'ailleurs si vous êtes à l'image de votre géniteur, le retour risque d'être finalement plus déplaisant pour vous je suppose."
"Je vous laisse jusqu'à demain matin pour réfléchir si vous le voulez."
Daguet fit un geste à ses hommes pour qu'ils emmènent les prisonniers.
Circé regarda son frère qui hocha légèrement la tête.
"Nous sommes d'accord pour prêter serment."
"Bien! Dans ce cas je vais faire envoyer un corbeau à votre père. J'espère que sa réponse vous sera favorable. En attendant vous êtes mes invités, j'ai une charmante cage à votre disposition."
Les gardes emmenaient les prisonniers lorsque Daguet s'écria.
"Ah! J'oubliais! Qu'on leur coupe la main droite."
Circé ne put s'empêcher de lâcher un cri d'horreur.
"Je t'ai scrupuleusement obéi Père, tu m'as dit d'attaquer au signal des Noirmont, j'ai attaqué à leurs signal." fit Ser Gavriel d'un air de défi.
"Mais tu les as trahis!"
"Non je n'ai jamais juré de les aider et de plus j'ai sauvé l'honneur de notre maison."
"Qu'est-ce qui va se passer maintenant pour nous?" dit Lord Connor.
"Maintenant je vais emmener nos troupes avec celles de Lord Daguet pour aller botter le cul à Wanderman et aider le jeune nain."
"Je te l'interdis." dit le Lord sans conviction.
"Réfléchis un peu Père, on ne peut plus faire machine arrière car cela donnera une excuse à nos voisins de venir nous attaquer et de plus je suis certain que cela renforcera notre position ici. Tu pourras toujours dire la vérité, que c'est ton héritier qui t'as convaincu de suivre Lord Wandermann et que tu est revenu à la raison. Il faudra certainement renier Connor et il devra sans doute prendre le noir mais tu as moyen de réparer nos fautes."
"Ce que tu dis à du sens, mais pour Connor?"
"Connor est bien trop ambitieux pour son propre bien et celle de notre maison. En tout cas sache que mes hommes sont avec moi."
"je vais y réfléchir."
"...et c'est ainsi que je vous demande de vous acquitter d'une rançon de 2000 Dragons d'Or(note=10pts richesse) pour vous restituer vos enfants. Attendons une réponse rapide. Daguet de la Nouë."
"Voilà tout mon seigneur." dit le mestre.
Lord Noirmont éclata d'une violente rage, se précipita sur une chaise et la jeta aussi violemment et loin que possible que sa faible force le permettait. Si les serviteurs ne craignaient pas autant leur maître, ils auraient ri du pathétique de cette scène.
"Nous allons devoir nous endetter complètement pour payer cette rançon astronomique, nous ne paierons que la rançon de Carlo mais nous n'avons pas les moyens de nous acquitter de 1000 dragons."
"Vous connaissez les liens qui unissent vos enfants? Il refusera de la laisser."
Lord Noirmont eut une mou de dégoût en pensant à la relation incestueuse de ses enfants.
"Vous pouvez toujours demander à Lord Greaves de payer celle de Circé en échange de sa main. Depuis le temps qu'il l'a courtise." proposa le mestre.
"Certes... cela écartera en plus Carlo de Circé, mais cela reste trop cher."
"Proposer 1500 pour les deux et dites à Lord Greaves que c'est 2000."
"Faites cela." dit Lord Noirmont à son mestre.
"Bien monseigneur."
"Et notre armée?" demanda le Lord bien qu'il connaissait la réponse.
"Certainement détruite sinon ils n'auraient pas capturé votre fils."
"On va mettre beaucoup de temps à s'en remettre."
"Ce sera encore pire si vos enfants meurent."
"Je ne pensais pas que nous aurions autant et qu'il accepterait aussi vite." dit Daguet.
"Répondez que nous sommes d'accord pour 1600." dit-il après avoir réfléchi.
"Bien messer."
"En attendant il nous faut réfléchir à la campagne qui se profile. Commencez le recrutement" dit Daguet.
"Ah! Et informez nos invités de la bonne nouvelle."
"Connor, tu vas attendre l'arrivée de ton frère et unir tes troupes à celle de Ser Daguet lorsqu'ils arriveront. Tu prendras parti contre Lord Wandermann."
Ce brusque revirement de son père ne voulait dire qu'une chose que son frère avec son honneur mal placé avait réussi à le convaincre de retourner sa veste et que pour lui cela en était terminé.
Deux semaines de poursuite avaient été nécessaires à Daguet et Gavriel pour détruire les restes de l'armée Dornienne ainsi que les pillards et capturer les deux chefs.
Devant lui Ser Carlo Noirmont et sa sœur Dame Circé Noirmont étaient enchaîné et sous la surveillance de plusieurs chevaliers. Ils s'étaient battu vaillament et ce malgré leurs blessures et leurs fatigues.
"Vous avez vaillamment lutté mais c'est terminé." continua Ser Daguet.
"Qu'allez-vous faire de nous maintenant? Nous tuer?" demanda Circé.
"Les Septs savent que vous méritez ce sort amplement et plutôt mille fois qu'une d'ailleurs!" s'exclama Daguet.
"D'ailleurs c'est le sort que vous m'auriez réserver je suppose si nos rôles étaient inversés n'est-ce pas?"
Daguet fit un moue de la bouche pour signifier qu'il n'attendait pas de réponse.
"Mais vous avez de la chance, je ne suis pas comme vous. Je vais vous remettre à votre père avec une rançon si vous me promettez sur votre honneur et devant un septon que jamais plus vous ne reviendrez piller mes terres et celles de la région." expliqua Daguet à ses deux prisonniers.
"Et si on ne promet rien?" défia Circé.
"Je ferai décapité votre cher frère après l'avoir laissé aux bons soins de mes paysans et vous Dame Circé, je vous ferai couper la langue avant de vous enfermer dans un septistère de filles de l'étranger. Je vous aurais bien données à mes hommes mais connaissant vos penchants lubriques, je pensais que vous auriez apprécié."
"Personnellement je suis rêverai que vous refusiez de prêter serment mais la politique est telle que je me dois de vous proposer une alternative et de laisser une chance à votre père de récupérer ces chers enfants."
"D'ailleurs si vous êtes à l'image de votre géniteur, le retour risque d'être finalement plus déplaisant pour vous je suppose."
"Je vous laisse jusqu'à demain matin pour réfléchir si vous le voulez."
Daguet fit un geste à ses hommes pour qu'ils emmènent les prisonniers.
Circé regarda son frère qui hocha légèrement la tête.
"Nous sommes d'accord pour prêter serment."
"Bien! Dans ce cas je vais faire envoyer un corbeau à votre père. J'espère que sa réponse vous sera favorable. En attendant vous êtes mes invités, j'ai une charmante cage à votre disposition."
Les gardes emmenaient les prisonniers lorsque Daguet s'écria.
"Ah! J'oubliais! Qu'on leur coupe la main droite."
Circé ne put s'empêcher de lâcher un cri d'horreur.
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"Comment as-tu pu? Tu as désobéi à mes ordres." hurla Lord Connor."Je t'ai scrupuleusement obéi Père, tu m'as dit d'attaquer au signal des Noirmont, j'ai attaqué à leurs signal." fit Ser Gavriel d'un air de défi.
"Mais tu les as trahis!"
"Non je n'ai jamais juré de les aider et de plus j'ai sauvé l'honneur de notre maison."
"Qu'est-ce qui va se passer maintenant pour nous?" dit Lord Connor.
"Maintenant je vais emmener nos troupes avec celles de Lord Daguet pour aller botter le cul à Wanderman et aider le jeune nain."
"Je te l'interdis." dit le Lord sans conviction.
"Réfléchis un peu Père, on ne peut plus faire machine arrière car cela donnera une excuse à nos voisins de venir nous attaquer et de plus je suis certain que cela renforcera notre position ici. Tu pourras toujours dire la vérité, que c'est ton héritier qui t'as convaincu de suivre Lord Wandermann et que tu est revenu à la raison. Il faudra certainement renier Connor et il devra sans doute prendre le noir mais tu as moyen de réparer nos fautes."
"Ce que tu dis à du sens, mais pour Connor?"
"Connor est bien trop ambitieux pour son propre bien et celle de notre maison. En tout cas sache que mes hommes sont avec moi."
"je vais y réfléchir."
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Lord Noirmont écouta la missive lue par son Mestre."...et c'est ainsi que je vous demande de vous acquitter d'une rançon de 2000 Dragons d'Or(note=10pts richesse) pour vous restituer vos enfants. Attendons une réponse rapide. Daguet de la Nouë."
"Voilà tout mon seigneur." dit le mestre.
Lord Noirmont éclata d'une violente rage, se précipita sur une chaise et la jeta aussi violemment et loin que possible que sa faible force le permettait. Si les serviteurs ne craignaient pas autant leur maître, ils auraient ri du pathétique de cette scène.
"Nous allons devoir nous endetter complètement pour payer cette rançon astronomique, nous ne paierons que la rançon de Carlo mais nous n'avons pas les moyens de nous acquitter de 1000 dragons."
"Vous connaissez les liens qui unissent vos enfants? Il refusera de la laisser."
Lord Noirmont eut une mou de dégoût en pensant à la relation incestueuse de ses enfants.
"Vous pouvez toujours demander à Lord Greaves de payer celle de Circé en échange de sa main. Depuis le temps qu'il l'a courtise." proposa le mestre.
"Certes... cela écartera en plus Carlo de Circé, mais cela reste trop cher."
"Proposer 1500 pour les deux et dites à Lord Greaves que c'est 2000."
"Faites cela." dit Lord Noirmont à son mestre.
"Bien monseigneur."
"Et notre armée?" demanda le Lord bien qu'il connaissait la réponse.
"Certainement détruite sinon ils n'auraient pas capturé votre fils."
"On va mettre beaucoup de temps à s'en remettre."
"Ce sera encore pire si vos enfants meurent."
***
Daguet lu la réponse de Lord Noirmont et redonna la lettre à son mestre."Je ne pensais pas que nous aurions autant et qu'il accepterait aussi vite." dit Daguet.
"Répondez que nous sommes d'accord pour 1600." dit-il après avoir réfléchi.
"Bien messer."
"En attendant il nous faut réfléchir à la campagne qui se profile. Commencez le recrutement" dit Daguet.
"Ah! Et informez nos invités de la bonne nouvelle."
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Le futur Lord Lollyston cligna des yeux et relus une enième fois ce qui était écrit."Connor, tu vas attendre l'arrivée de ton frère et unir tes troupes à celle de Ser Daguet lorsqu'ils arriveront. Tu prendras parti contre Lord Wandermann."
Ce brusque revirement de son père ne voulait dire qu'une chose que son frère avec son honneur mal placé avait réussi à le convaincre de retourner sa veste et que pour lui cela en était terminé.
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"Un bataille équitable c'est quoi? C'est à dix contre un avec une intense préparation d'artillerie. Si tu veux de la finesse demande à ces tapettes de Space Marines." dixit un lieutenant de la garde Impériale.
"Ah! l'odeur de l'ork brûlé au petit matin, putain que c'est bon!" Le même lieutenant après la bataille.
edgar pied leger- Messages : 2705
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Re: la saga des brochet saison deux
Dans la forêt, un petit campement, bien protégé, un petit groupe bivouaquait.
"Mon frère va vous retrouver et vous tuer, messer." Bella parlait lentement avec une voix froide comme l'acier.
"Primo, je lui souhaite bon courage et secundo je compte bien qu'il nous retrouve." Répondit Ser Rollos avec un petit sourire narquois.
"Mais je vous en prie gente damoiselle, voyez cela comme ma manière de vous réunir avec votre mère. Je suis attristé que votre famille souffre de la séparation."
Au moment où il avait énoncé le mot mère, l'armure mentale que Bella s'était dressée s'effondra comme un château de carte et elle éclata en sanglot dans un étrange mélange de joie et de peine mêlée bientôt rejoint par Nyssa qui avait entendu.
"Mère est vivante?" dit-elle en sanglot
"Au dernière nouvelle, oui mais je vous caches pas qu'elle n'est pas loin de rejoindre l'Etranger. Je l'ai trouvée mourante à quelques lieues de Petibon et je l'ai ramené à mon seigneur qui l'a fait soigné. Quand je suis parti à vos trousses, sa santé était un peu meilleure bien que très faible." expliqua Rollos sans émotion.
Les deux enfants redoublèrent de pleurs devant Rollos qui tendit une écuelle à Bella. Celle-ci repoussa violemment l'assiette.
"Vous avez tort damoiselle, le voyage est encore long et ce serai dommage de mourir de faim avant de retrouver votre mère."
Il revint en arrière et rejoignit ses amis. Il dit doucement d'une voix calme.
"J'ai localisé leur camp, je pense. Il est à environ 500m plus loin au milieu du bois. J'ai repéré au moins un garde. je dirai qu'ils sont une demi-douzaine, aux vues des traces." expliqua Ned.
Tyrion regarda ses amis et hocha lentement la tête comme pour dire "on y va", chacun de ses amis répondit d'un même hochement de tête.
"Au moins Dame Demeter est saine et sauve." Pensa le jeune Nain.
Ils avaient relâché Dame Déméter en passant à Grandcerf avant de continuer sur la route. Il ne lui avait été fait aucun mal. Il ne l'avait enlevé que pour empêcher les plus courageux de les suivre.
Tyrion espérait secrètement que Ser Rollos avait pris le même soin avec ses sœurs.
"Mon frère va vous retrouver et vous tuer, messer." Bella parlait lentement avec une voix froide comme l'acier.
"Primo, je lui souhaite bon courage et secundo je compte bien qu'il nous retrouve." Répondit Ser Rollos avec un petit sourire narquois.
"Mais je vous en prie gente damoiselle, voyez cela comme ma manière de vous réunir avec votre mère. Je suis attristé que votre famille souffre de la séparation."
Au moment où il avait énoncé le mot mère, l'armure mentale que Bella s'était dressée s'effondra comme un château de carte et elle éclata en sanglot dans un étrange mélange de joie et de peine mêlée bientôt rejoint par Nyssa qui avait entendu.
"Mère est vivante?" dit-elle en sanglot
"Au dernière nouvelle, oui mais je vous caches pas qu'elle n'est pas loin de rejoindre l'Etranger. Je l'ai trouvée mourante à quelques lieues de Petibon et je l'ai ramené à mon seigneur qui l'a fait soigné. Quand je suis parti à vos trousses, sa santé était un peu meilleure bien que très faible." expliqua Rollos sans émotion.
Les deux enfants redoublèrent de pleurs devant Rollos qui tendit une écuelle à Bella. Celle-ci repoussa violemment l'assiette.
"Vous avez tort damoiselle, le voyage est encore long et ce serai dommage de mourir de faim avant de retrouver votre mère."
***
Ned suivait les traces de Rollos et de ses hommes depuis trois bonnes journées et il était maintenant certain de toucher au but. Il examina les environs et repéra soudain un garde en train de guetter. Il revint en arrière et rejoignit ses amis. Il dit doucement d'une voix calme.
"J'ai localisé leur camp, je pense. Il est à environ 500m plus loin au milieu du bois. J'ai repéré au moins un garde. je dirai qu'ils sont une demi-douzaine, aux vues des traces." expliqua Ned.
Tyrion regarda ses amis et hocha lentement la tête comme pour dire "on y va", chacun de ses amis répondit d'un même hochement de tête.
"Au moins Dame Demeter est saine et sauve." Pensa le jeune Nain.
Ils avaient relâché Dame Déméter en passant à Grandcerf avant de continuer sur la route. Il ne lui avait été fait aucun mal. Il ne l'avait enlevé que pour empêcher les plus courageux de les suivre.
Tyrion espérait secrètement que Ser Rollos avait pris le même soin avec ses sœurs.
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"Un bataille équitable c'est quoi? C'est à dix contre un avec une intense préparation d'artillerie. Si tu veux de la finesse demande à ces tapettes de Space Marines." dixit un lieutenant de la garde Impériale.
"Ah! l'odeur de l'ork brûlé au petit matin, putain que c'est bon!" Le même lieutenant après la bataille.
edgar pied leger- Messages : 2705
Date d'inscription : 06/03/2012
Age : 52
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Re: la saga des brochet saison deux
"Voilà ils se mettent enfin en route." Dit Ser Daguet.
"Combien sont-ils?" demanda Jonothor.
"Plus de 2000 selon nos éclaireurs, Lord Wandermann en personne et les Lord Ram, Wheaton et Grocer. Toute leur arrière-garde. C'est ce que l'on voulait non?" dit Ser Daguet.
"Oui mais bon on va être à 1 contre deux voir plus." dit Tyrion.
"Ils ne connaissent pas la présence de Lord Francis et ses troupes ni de celles de Ser Gavriel. de plus nous avons reçu plus de troupes des Carner et des Beesbury que prévu. D'ailleurs Ser Bergerac a le plus fort contingent désormais. Mais il sait désormais où est sa place. il commandera l'une de ses troupes comme Ser Bronte du reste."
"Le rapport de force est quand même en notre défaveur."Dit Jonothor.
"Certes, mais nous disposons d'un effet de surprise." répondit simplement Daguet.
"Lord Tyrion il vous faut déterminer qui commandera l'armée en premier lieu." dit Ser Bergerac
"La question ne se pose pas bien entendu, Ser daguet commandera l'ost." répondit Tyrion sans hésiter.
"Mais nous avons un second problème." dit Ser Daguet après un court instant.
"Quel est-il?" demanda Tyrion.
"Votre mère est captive à Petibon."
"Et alors?"
"Nous devons la sauver." Ser daguet fut malgré tout surpris de la réaction de Tyrion bien qu'il savait que le jeune nain ne la portait pas dans son cœur.
"Certes." répondit Tyrion.
"Que faisons nous alors?" demanda Daguet
"Combien sont-ils?" demanda Jonothor.
"Plus de 2000 selon nos éclaireurs, Lord Wandermann en personne et les Lord Ram, Wheaton et Grocer. Toute leur arrière-garde. C'est ce que l'on voulait non?" dit Ser Daguet.
"Oui mais bon on va être à 1 contre deux voir plus." dit Tyrion.
"Ils ne connaissent pas la présence de Lord Francis et ses troupes ni de celles de Ser Gavriel. de plus nous avons reçu plus de troupes des Carner et des Beesbury que prévu. D'ailleurs Ser Bergerac a le plus fort contingent désormais. Mais il sait désormais où est sa place. il commandera l'une de ses troupes comme Ser Bronte du reste."
"Le rapport de force est quand même en notre défaveur."Dit Jonothor.
"Certes, mais nous disposons d'un effet de surprise." répondit simplement Daguet.
"Lord Tyrion il vous faut déterminer qui commandera l'armée en premier lieu." dit Ser Bergerac
"La question ne se pose pas bien entendu, Ser daguet commandera l'ost." répondit Tyrion sans hésiter.
"Mais nous avons un second problème." dit Ser Daguet après un court instant.
"Quel est-il?" demanda Tyrion.
"Votre mère est captive à Petibon."
"Et alors?"
"Nous devons la sauver." Ser daguet fut malgré tout surpris de la réaction de Tyrion bien qu'il savait que le jeune nain ne la portait pas dans son cœur.
"Certes." répondit Tyrion.
"Que faisons nous alors?" demanda Daguet
Dernière édition par edgar pied leger le Mer 22 Avr - 9:25, édité 3 fois
_________________
"Un bataille équitable c'est quoi? C'est à dix contre un avec une intense préparation d'artillerie. Si tu veux de la finesse demande à ces tapettes de Space Marines." dixit un lieutenant de la garde Impériale.
"Ah! l'odeur de l'ork brûlé au petit matin, putain que c'est bon!" Le même lieutenant après la bataille.
edgar pied leger- Messages : 2705
Date d'inscription : 06/03/2012
Age : 52
Localisation : t'aimerai bien le savoir hein!
Re: la saga des brochet saison deux
Tyrion sentait le poids des regards autour de lui, sa réponse était attendue,
il devait trancher.
Son cœur se serra. Non pas l'évocation de sa mère,
mais à l'image de Nyssa qui se manifesta l'espace d'un instant dans le flot de ses pensées.
"Je ne puis mettre en péril notre entreprise pour une personne, quand bien même, fut-elle ma mère...
Le Roc ploie sous le nombre de ses assaillants depuis trop longtemps déjà,
il nous faut alléger sa charge pour créer l'occasion à mon père de reprendre la main.
Lord Wandermann a mordu à l’hameçon, il est temps de ferrer l'animal !"
Ser Daguet en resta coi, soit Tyrion faisait preuve d'un sens du sacrifice exemplaire, soit d'une cruauté sans borne...
Le visage fermé, Ser Daguet ouvrit la bouche pour dire mot, puis se ravisa, hochant simplement de la tête en signe d'approbation.
Jonothor pris la parole pour rompre le lourd silence qui s'était installer :
"Bien, qu'il en soit ainsi, allons nous reposer, nous avons de la route demain."
A la sortie de la tente de commandement, Jonothor alla Tyrion.
"Tyrion, je comprend ta décision... mais c'es ta mère quand même !
Nous avons monté une expédition pour ton mécréant de cousin, et"
Tyrion coupa la parole de son compagnon.
"et nous avons eut de la chance de nous en sortir vivant.
Je ne referais pas deux fois la même erreur."
Après un cour instant, il repris.
"Je laisse le soin à mon père de s'en occuper, et laisse moi te dire,
qu'il ne fera pas bon être à Petitbon en ce jour funeste de la vengeance du Brochet."
il devait trancher.
Son cœur se serra. Non pas l'évocation de sa mère,
mais à l'image de Nyssa qui se manifesta l'espace d'un instant dans le flot de ses pensées.
"Je ne puis mettre en péril notre entreprise pour une personne, quand bien même, fut-elle ma mère...
Le Roc ploie sous le nombre de ses assaillants depuis trop longtemps déjà,
il nous faut alléger sa charge pour créer l'occasion à mon père de reprendre la main.
Lord Wandermann a mordu à l’hameçon, il est temps de ferrer l'animal !"
Ser Daguet en resta coi, soit Tyrion faisait preuve d'un sens du sacrifice exemplaire, soit d'une cruauté sans borne...
Le visage fermé, Ser Daguet ouvrit la bouche pour dire mot, puis se ravisa, hochant simplement de la tête en signe d'approbation.
Jonothor pris la parole pour rompre le lourd silence qui s'était installer :
"Bien, qu'il en soit ainsi, allons nous reposer, nous avons de la route demain."
A la sortie de la tente de commandement, Jonothor alla Tyrion.
"Tyrion, je comprend ta décision... mais c'es ta mère quand même !
Nous avons monté une expédition pour ton mécréant de cousin, et"
Tyrion coupa la parole de son compagnon.
"et nous avons eut de la chance de nous en sortir vivant.
Je ne referais pas deux fois la même erreur."
Après un cour instant, il repris.
"Je laisse le soin à mon père de s'en occuper, et laisse moi te dire,
qu'il ne fera pas bon être à Petitbon en ce jour funeste de la vengeance du Brochet."
Dernière édition par gueute le Mer 22 Avr - 7:43, édité 3 fois
gueute- Caesar
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